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31_joursTitre: C'est Noël
Auteur:![[livejournal.com profile]](https://www.dreamwidth.org/img/external/lj-userinfo.gif)
lily_kohai
Jour/Thème: 30 Novembre/Contrôle, Présent
Fandom: Harry Potter (oui, oui, encore, je sais ^^")
Personnage/Couple: *kof kof* Bill/Charlie? ^o^
Rating: PG-13 pour incest
Disclaimer: Ils sont pas à moi v_v Je pense pas que Joan ait envisagé le Weasleycest, hein, mais bon...
Participation au vote de fin de mois: Oui
C'est Noël, et la maison est silencieuse.
Ginny et Ron sont dehors, sous la surveillance de Percy, et étrennent leurs jouets découverts ce matin au pied du sapin. De la fenêtre, Bill peut à peine reconnaître sa soeur de son plus jeune frère, emmitouflés qu'ils sont sous plusieurs couches de laine multicolore, bonnet, écharpe et gants compris. Percy garde un oeil sur eux et leur balance une boule de neige de temps en temps, pour faire râler Ron et rire Ginny, puis il se replonge dans le livre tout neuf qu'il est en train de lire. Bill ressent une pointe de fierté en voyant que la couverture bleue est celle du livre qu'il a lui-même choisi à son frère.
Il a croisé Fred et Georges tout à l'heure, quand il a pointé le nez hors de sa chambre. Les deux gamins tenaient quelques jouets et quelques morceaux de papier enchanté déchirés, signe qu'ils étaient passés par le sapin. Mais vu les bâillements formidables qu'ils subissaient toutes les deux secondes, ils étaient partis pour se recoucher. Bill a rigolé doucement, attendri par leurs mines ensommeillées, le double sourire qu'ils n'ont pas omis de lui adresser en passant et leurs mains entrelacées, selon leur habitude, et du coup, lui aussi est retourné dans sa chambre. Les cadeaux peuvent attendre, et puis Charlie dort encore, alors il ne les aurait pas ouverts tout de suite, de toute façon.
Leur père doit être avec leur mère, quelque part à l'étage au-dessous, peut-être même dans leur chambre, eux aussi. Molly a attrapé un bon rhume magique quelques jours auparavant, mais elle a tenu à participer -c'est-à-dire à quasiment tout faire elle-même- au repas de Noël, et a veillé tard, évidemment. Donc ce matin, elle se repose, et c'est ce qui explique le calme ambiant, si rare au Terrier. D'ordinaire, ce jour-là, Ron et Ginny courent partout dans le salon et jouent à celui qui réussira à sauter sur Percy quand il s'y attend le moins, les jumeaux font n'importe quoi n'importe où tant que ça fait du bruit, vu qu'ils n'ont pas le droit de se recoucher, Charlie et lui sont debout depuis plusieurs heures, quand même, et Molly commence déjà à tout nettoyer, râlant sur ce qui se trouve sur son chemin, famille comprise, avec un grand sourire plein de bonne humeur. Et surtout, elle est bien plus vigilante, la veille au soir, quant au nombre de Bièraubeurres prises par chacun ; ce qui explique que Charlie en ait bu plus que les autres années, pas suffisament pour le saoûler, mais bien assez pour lui faire faire une grasse matinée conséquente, étalé sous sa couette malgré l'heure tardive.
Treize heures sonnent et Bill cesse de contempler le jardin enneigé. Il revient s'asseoir sur son lit et s'y laisse finalement tomber avec un soupir de bien-être, s'allongeant avec délice. Un petit bruit le fait tourner la tête vers son frère et il étouffe précipitamment un rire dans son oreiller en constatant que Charlie s'est mis à sucer son pouce, se donnant l'air d'avoir tout au plus dix ans au lieu des quinze passés il n'y a pas si longtemps. Ca ne dure que quelques minutes avant qu'il ne remue à nouveau et que sa main ne se replanque sous les couvertures, mais il conserve cet air innocent, confiant, les lèvres entrouvertes et l'expression paisible, et Bill sourit, affectueux.
Charlie a toujours l'air si calme quand il dort que Bill ne se lasse jamais de le regarder. Son frère n'est pas agité comme peuvent l'être Fred et Georges, par exemple, mais il a néanmoins une espèce d'énergie parfaitement perceptible dans tout ce qu'il dit ou fait, et qui transparaît dans le moindre de ses sourires et de ses gestes, comme une aura chaleureuse et réconfortante. Et quand il est endormi, son expression se relâche, cette aura s'apaise et ce n'est plus de la chaleur, c'est de la douceur, qui donne envie à Bill de se pelotonner à côté de lui et de s'assoupir là pour des jours et des jours.
Bill secoue la tête et se rassoit sur son lit, passant une main dans ses longues mèches rousses qui lui tombent sur les yeux et font couiner la moitié des filles de son année -il s'efforce d'ignorer les autres, mais celles-là sont dures à éviter. Il n'arrive pas à se faire aux idées qui lui trottent dans le crâne dès qu'il regarde Charlie, depuis ce qui lui semble déjà trop de temps. Il l'observe avec leurs petits frères et leur soeur et il le trouve patient et adorable, il l'observe quand il discute avec lui ou quelqu'un d'autre et il le trouve compréhensif et amusant et tellement chaleureux, il l'observe en train de jouer au Quidditch et il le trouve impressionnant et beau et diablement attirant, à tel point qu'il s'en veut de l'adorer, de l'aimer autant, comme il ne devrait pas.
Charlie remue une fois de plus. Il va certainement bientôt se réveiller, et Bill ne résiste pas au plaisir de descendre de son lit, de s'asseoir à côté de celui de son frère, d'appuyer ses bras sur le matelas et d'y poser son menton, pour pouvoir le regarder tout à son aise. Il a ses habitudes, ils ont leurs habitudes, même, et ce qui n'est pas possible à Hogwarts à cause des dortoirs leur rend les vacances encore plus douces. Charlie entrouvre un oeil, pas très motivé, et le referme presque aussitôt. Bill sourit encore, amusé par le rituel familier. Son frère recommence une ou deux fois, jusqu'à distinguer le visage près de lui, et fait alors l'effort de garder les yeux ouverts.
"'Jour" fait-il d'une voix passablement ensommeillée qui donne des frissons à Bill.
"Bonjour" répond-il doucement. "Un peu plus et j'allais chercher une fée pour te réveiller, mon vieux."
Charlie sourit à son tour, d'un sourire tout aussi affectueux, quoiqu'un peu trop espiègle pour être innocent.
"Pourquoi une fée?" fait-il en s'étirant soigneusement, avant de remonter la couette que le mouvement a fait glisser. "Les moldus ont compris le truc, eux, ils se débrouillent tout seuls..."
"Rappelle-moi à quel Collège on va, déjà?"
"Collège de Magie?"
"Où est-ce que tu vois du moldu, là-dedans?"
"Une bonne idée mérite d'être exploitée. Je me rendors, tiens."
Et il referme les yeux, se bouinant dans la chaleur confortable du lit avec un petit bruit de contentement. Bill lève les yeux au ciel, rougissant légèrement.
"Charlie..."
"Mmmmh..."
Charlie avait compris bien avant Bill lui-même que les regards qu'ils échangeaient s'étaient chargés de quelque chose de plus que leur complicité fraternelle. Bill avait nié ces sensations et sentiments qu'il ne contrôlait pas, avait cogité sur la situation incompréhensible et inacceptable à ses yeux, avait tourné comme un lion en cage des semaines et des semaines durant, et puis Charlie, manifestement plus patient avec ses cadets qu'avec son aîné, avait décidé qu'il en avait marre d'attendre. Il avait chopé Bill dans un couloir pour qu'ils aient une longue et honnête discussion, et au final...
Bill soupire, amusé par le manège de son frère, malgré tout, et se relève à moitié, juste assez pour pouvoir l'atteindre en se penchant sur lui. Il dépose à peine un baiser sur ses lèvres, léger et frustrant, un peu joueur. Charlie attrape aussitôt le col de son pyjama et le maintient contre lui pour l'embrasser avec beaucoup plus de conviction. Bill répond tranquillement, savourant le baiser comme chacun de ceux qu'ils échangent, et ne se rend pas vraiment compte de son mouvement avant d'être installé sous la couette bien chaude. Le regard rieur de Charlie le dissuade de protester et il sourit, fermant les yeux, et laisse sa tête reposer sur l'oreiller. Le souffle de son frère sur son visage lui indique qu'il s'est réinstallé lui aussi, et il le serre contre lui.
Il n'est pas sûr qu'il soit bien raisonnable d'être là, et encore moins d'avoir envie d'y rester, mais il a perdu le contrôle de la situation depuis bien longtemps, depuis que Charlie en a pris possession, en fait, et il doit reconnaître qu'il est assez agréable de se laisser porter sans chercher à réfléchir. Les cris et les rires des petits dehors, étouffés par la vitre fermée, les bercent presque, et le ciel nuageux laisse passer une lumière contonneuse apaisante, et Bill sent qu'il se rendort. La respiration de Charlie, contre lui, est déjà de nouveau régulière, et il ne lutte pas contre le sommeil. Aujourd'hui est un jour qui sort un peu de l'ordinaire, alors pourquoi déroger à la règle?
C'est Noël, et la maison est silencieuse...
FIN.
Auteur:
lily_kohaiJour/Thème: 30 Novembre/Contrôle, Présent
Fandom: Harry Potter (oui, oui, encore, je sais ^^")
Personnage/Couple: *kof kof* Bill/Charlie? ^o^
Rating: PG-13 pour incest
Disclaimer: Ils sont pas à moi v_v Je pense pas que Joan ait envisagé le Weasleycest, hein, mais bon...
Participation au vote de fin de mois: Oui
C'est Noël, et la maison est silencieuse.
Ginny et Ron sont dehors, sous la surveillance de Percy, et étrennent leurs jouets découverts ce matin au pied du sapin. De la fenêtre, Bill peut à peine reconnaître sa soeur de son plus jeune frère, emmitouflés qu'ils sont sous plusieurs couches de laine multicolore, bonnet, écharpe et gants compris. Percy garde un oeil sur eux et leur balance une boule de neige de temps en temps, pour faire râler Ron et rire Ginny, puis il se replonge dans le livre tout neuf qu'il est en train de lire. Bill ressent une pointe de fierté en voyant que la couverture bleue est celle du livre qu'il a lui-même choisi à son frère.
Il a croisé Fred et Georges tout à l'heure, quand il a pointé le nez hors de sa chambre. Les deux gamins tenaient quelques jouets et quelques morceaux de papier enchanté déchirés, signe qu'ils étaient passés par le sapin. Mais vu les bâillements formidables qu'ils subissaient toutes les deux secondes, ils étaient partis pour se recoucher. Bill a rigolé doucement, attendri par leurs mines ensommeillées, le double sourire qu'ils n'ont pas omis de lui adresser en passant et leurs mains entrelacées, selon leur habitude, et du coup, lui aussi est retourné dans sa chambre. Les cadeaux peuvent attendre, et puis Charlie dort encore, alors il ne les aurait pas ouverts tout de suite, de toute façon.
Leur père doit être avec leur mère, quelque part à l'étage au-dessous, peut-être même dans leur chambre, eux aussi. Molly a attrapé un bon rhume magique quelques jours auparavant, mais elle a tenu à participer -c'est-à-dire à quasiment tout faire elle-même- au repas de Noël, et a veillé tard, évidemment. Donc ce matin, elle se repose, et c'est ce qui explique le calme ambiant, si rare au Terrier. D'ordinaire, ce jour-là, Ron et Ginny courent partout dans le salon et jouent à celui qui réussira à sauter sur Percy quand il s'y attend le moins, les jumeaux font n'importe quoi n'importe où tant que ça fait du bruit, vu qu'ils n'ont pas le droit de se recoucher, Charlie et lui sont debout depuis plusieurs heures, quand même, et Molly commence déjà à tout nettoyer, râlant sur ce qui se trouve sur son chemin, famille comprise, avec un grand sourire plein de bonne humeur. Et surtout, elle est bien plus vigilante, la veille au soir, quant au nombre de Bièraubeurres prises par chacun ; ce qui explique que Charlie en ait bu plus que les autres années, pas suffisament pour le saoûler, mais bien assez pour lui faire faire une grasse matinée conséquente, étalé sous sa couette malgré l'heure tardive.
Treize heures sonnent et Bill cesse de contempler le jardin enneigé. Il revient s'asseoir sur son lit et s'y laisse finalement tomber avec un soupir de bien-être, s'allongeant avec délice. Un petit bruit le fait tourner la tête vers son frère et il étouffe précipitamment un rire dans son oreiller en constatant que Charlie s'est mis à sucer son pouce, se donnant l'air d'avoir tout au plus dix ans au lieu des quinze passés il n'y a pas si longtemps. Ca ne dure que quelques minutes avant qu'il ne remue à nouveau et que sa main ne se replanque sous les couvertures, mais il conserve cet air innocent, confiant, les lèvres entrouvertes et l'expression paisible, et Bill sourit, affectueux.
Charlie a toujours l'air si calme quand il dort que Bill ne se lasse jamais de le regarder. Son frère n'est pas agité comme peuvent l'être Fred et Georges, par exemple, mais il a néanmoins une espèce d'énergie parfaitement perceptible dans tout ce qu'il dit ou fait, et qui transparaît dans le moindre de ses sourires et de ses gestes, comme une aura chaleureuse et réconfortante. Et quand il est endormi, son expression se relâche, cette aura s'apaise et ce n'est plus de la chaleur, c'est de la douceur, qui donne envie à Bill de se pelotonner à côté de lui et de s'assoupir là pour des jours et des jours.
Bill secoue la tête et se rassoit sur son lit, passant une main dans ses longues mèches rousses qui lui tombent sur les yeux et font couiner la moitié des filles de son année -il s'efforce d'ignorer les autres, mais celles-là sont dures à éviter. Il n'arrive pas à se faire aux idées qui lui trottent dans le crâne dès qu'il regarde Charlie, depuis ce qui lui semble déjà trop de temps. Il l'observe avec leurs petits frères et leur soeur et il le trouve patient et adorable, il l'observe quand il discute avec lui ou quelqu'un d'autre et il le trouve compréhensif et amusant et tellement chaleureux, il l'observe en train de jouer au Quidditch et il le trouve impressionnant et beau et diablement attirant, à tel point qu'il s'en veut de l'adorer, de l'aimer autant, comme il ne devrait pas.
Charlie remue une fois de plus. Il va certainement bientôt se réveiller, et Bill ne résiste pas au plaisir de descendre de son lit, de s'asseoir à côté de celui de son frère, d'appuyer ses bras sur le matelas et d'y poser son menton, pour pouvoir le regarder tout à son aise. Il a ses habitudes, ils ont leurs habitudes, même, et ce qui n'est pas possible à Hogwarts à cause des dortoirs leur rend les vacances encore plus douces. Charlie entrouvre un oeil, pas très motivé, et le referme presque aussitôt. Bill sourit encore, amusé par le rituel familier. Son frère recommence une ou deux fois, jusqu'à distinguer le visage près de lui, et fait alors l'effort de garder les yeux ouverts.
"'Jour" fait-il d'une voix passablement ensommeillée qui donne des frissons à Bill.
"Bonjour" répond-il doucement. "Un peu plus et j'allais chercher une fée pour te réveiller, mon vieux."
Charlie sourit à son tour, d'un sourire tout aussi affectueux, quoiqu'un peu trop espiègle pour être innocent.
"Pourquoi une fée?" fait-il en s'étirant soigneusement, avant de remonter la couette que le mouvement a fait glisser. "Les moldus ont compris le truc, eux, ils se débrouillent tout seuls..."
"Rappelle-moi à quel Collège on va, déjà?"
"Collège de Magie?"
"Où est-ce que tu vois du moldu, là-dedans?"
"Une bonne idée mérite d'être exploitée. Je me rendors, tiens."
Et il referme les yeux, se bouinant dans la chaleur confortable du lit avec un petit bruit de contentement. Bill lève les yeux au ciel, rougissant légèrement.
"Charlie..."
"Mmmmh..."
Charlie avait compris bien avant Bill lui-même que les regards qu'ils échangeaient s'étaient chargés de quelque chose de plus que leur complicité fraternelle. Bill avait nié ces sensations et sentiments qu'il ne contrôlait pas, avait cogité sur la situation incompréhensible et inacceptable à ses yeux, avait tourné comme un lion en cage des semaines et des semaines durant, et puis Charlie, manifestement plus patient avec ses cadets qu'avec son aîné, avait décidé qu'il en avait marre d'attendre. Il avait chopé Bill dans un couloir pour qu'ils aient une longue et honnête discussion, et au final...
Bill soupire, amusé par le manège de son frère, malgré tout, et se relève à moitié, juste assez pour pouvoir l'atteindre en se penchant sur lui. Il dépose à peine un baiser sur ses lèvres, léger et frustrant, un peu joueur. Charlie attrape aussitôt le col de son pyjama et le maintient contre lui pour l'embrasser avec beaucoup plus de conviction. Bill répond tranquillement, savourant le baiser comme chacun de ceux qu'ils échangent, et ne se rend pas vraiment compte de son mouvement avant d'être installé sous la couette bien chaude. Le regard rieur de Charlie le dissuade de protester et il sourit, fermant les yeux, et laisse sa tête reposer sur l'oreiller. Le souffle de son frère sur son visage lui indique qu'il s'est réinstallé lui aussi, et il le serre contre lui.
Il n'est pas sûr qu'il soit bien raisonnable d'être là, et encore moins d'avoir envie d'y rester, mais il a perdu le contrôle de la situation depuis bien longtemps, depuis que Charlie en a pris possession, en fait, et il doit reconnaître qu'il est assez agréable de se laisser porter sans chercher à réfléchir. Les cris et les rires des petits dehors, étouffés par la vitre fermée, les bercent presque, et le ciel nuageux laisse passer une lumière contonneuse apaisante, et Bill sent qu'il se rendort. La respiration de Charlie, contre lui, est déjà de nouveau régulière, et il ne lutte pas contre le sommeil. Aujourd'hui est un jour qui sort un peu de l'ordinaire, alors pourquoi déroger à la règle?
C'est Noël, et la maison est silencieuse...
FIN.
(no subject)
Date: 2006-11-30 11:27 pm (UTC)♥ ♥
j'aime bien ton Bill, il est adorable! et ton Charlie...bah c'est Charlie, quoi! Irrésistible, et c'est pour ça qu'on n'essaie même pas... ou pas longtemps ^w^
*couine très fort sur Charlie suçant son pouce*
(no subject)
Date: 2006-11-30 11:33 pm (UTC)"ronronne"
Oui, l'est bien, Charlie, hein? Choupi, mon oeil XD Il mène Bill par le bout du nez XD
J'ai cette image depuis le début ^^ "kof kof" Quoi? Être en retard de deux jours et avoir rattrapé le coup? Nan, j'vois pas...
(no subject)
Date: 2006-12-01 06:36 am (UTC)J'aime aussi le passage avec Bill et Charlie, bien sûr, parce qu'il est très joliment raconté, mais mes amours niveau fandom vont à la première partie. :-)
(no subject)
Date: 2006-12-01 06:36 pm (UTC)J'adore ! J'adore vraiment beaucoup ! ^^ Surtout la façondont tu exploite le théme *papillione de nouveau*
Carlie/bill is smexy!love
(no subject)
Date: 2006-12-16 07:38 pm (UTC)Je ne suis pas très frote pour les commentaires, mais j'aime bicoup^^