ext_130622 (
ylg.livejournal.com) wrote in
31_jours2006-11-27 11:06 pm
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27 novembre - d'un monde à l'autre - FMA
Titre : derrière la Porte
Auteur : ylg
Jour/Thème : 27 novembre, d’un monde à l’autre (présent ?)
Fandom : FullMetal Alchemist, anime et film
Personnage/Couple : Edward Elric, Ed/Heid, indices d’Ed/Al
Rating : PG
Disclaimer : à l’origine Arakawa Hiromu, puis des gens de chez Square Enix et de chez Bones
Participation au vote de fin de mois : peut-être
Note : écrit un peu l’arrache une nuit d’insomnie la semaine dernière, fini tout aussi à l’arrache, pas bien relu, loin d’être beta-lu… si quelqu’un pouvait vérifier ma concordance des temps foireuse et l’enchaînement entre les paragraphes, je lui serais infiniment reconnaissante =_=
***
Derrière la Porte, il y a la lumière, et un autre monde. Pas l’au-delà ni le Paradis, ni même l’Enfer. Dans la Porte, il y a des créatures de cauchemar qui vivent, qui attendent qu’un imprudent l’entrouvre pour l’attirer à eux ou eux s’échapper par ici. Et encore derrière eux, si on y arrive, si une force vous pousse à travers cette Porte et que vous passez sans vous faire dévorer, il y a un autre monde.
Ça lui rappelle un livre que Tante Sarah leur avait lu une fois quand ils étaient enfants –Winry avait adoré, Al en avait eu peur, lui avait trouvé que c’était n’importe quoi : une enfant qui passait à travers un miroir et se retrouvait dans un monde complètement loufoque, avant de se rendre compte qu’il s’agissait en fait d’un rêve.
Pour loufoque, il l’est, ce monde derrière la Porte. Il a voulu croire, souvent, que c’était juste un rêve et qu’enfin, il allait se réveiller, trouver les yeux attentifs de son frère brillant dans le heaume vide, seule étincelle de vie prouvant qu’il était encore là, veillant sur son sommeil agité.
Mais non.
Un reflet grotesque et déformé, incroyable mais définitivement réel ; un monde qui n’est pas le sien, dont chaque ressemblance cache une différence cruelle.
Il se sent amputé d’une partie de son être, dans ce monde. Il n’a plus Al, son petit frère, la moitié de lui-même. Il ne peut plus utiliser l’alchimie pour les mille et un petits riens de la vie quotidienne, comme il en a le réflexe ; il a même perdu ça, se trouve à chercher les gestes à faire, comme un bébé qui ne sait rien.
Et puis, il est réellement amputé, de sa jambe et son bras offerts de nouveau pour la vie de son frère, handicapé, mutilé, rendu impuissant, dépendant de son père. Comme un bébé ou une épave humaine, jusqu’à ce qu’enfin, celui-ci arrive à lui fabriquer des prothèses qui ne vaudront jamais un bon automail. Il se retrouve dans la peau du misérable tas de viande blessé et sans vie qu’il était devenu à onze ans, quand tout son monde s’était écroulé autour de lui pour la première fois, avant qu’il n’arrive à trouver la force d’avancer encore.
Ces automails, il voulait absolument s’en débarrasser. Parce qu’il voulait récupérer son corps de chair… Et aujourd’hui il n’a plus ni l’un ni l’autre. Il a tout donné en échange de son petit frère, qui lui a pourtant été arraché : où est l’Equivalence là-dedans ? ils sont peut-être en vie, mais chacun dans un monde différent, séparés, sans certitude que l’autre est bien vivant, et d’ailleurs ils ne vivent plus qu’à moitié, sans l’autre. Car Alphonse lui aussi doit souffrir tout autant que lui…
Il n’y a aucune compensation à cela.
Cette foutue Porte s’est jouée de lui, lui qui trop souvent joué avec l’alchimie et a tenté de tricher avec elle. Voilà sa punition : un monde qui chaque jour lui rappelle chez lui, sans être le sien.
Un monde où les alchimistes sont des fous et les mécaniciens des rois. Ça ferait plaisir à Winry, de le connaître, peut-être, mais Winry n’est pas dans ce monde… il est tout seul ici. La seule personne qui le connaît, c’est la seule avec qui il ne souhaitait pas vivre : il doit vivre sans son frère et sans son amie, apprendre à faire avec ce père qui l’avait abandonné, enfant, et qui s’occupe désormais de lui comme jamais il ne l’a fait autrefois.
Ce monde tourne autour de lui sans qu’il puisse le comprendre, exactement comme dans un rêve. Il continue à espérer qu’un jour, il s’en réveillera.
Jusqu'à ce qu’il croise ce garçon…
Un reflet dans une glace déformante. Des cheveux plus clairs encore que les siens, des yeux bleu glace. Mais le même regard, le même sourire, et le visage qu’Al aurait eu, sans nul doute, s’il avait atteint un jour l’âge de seize ans. Un corps vivant, un cœur qui bat, du sang chaud, tout ce dont son frère a été privé… Il n’en revient pas.
Pendant des années, son frère a été une âme pure à ses côtés, toujours près de lui au point qu’il en vienne à le considérer comme une partie de lui. Et dont, il a honte de l’admettre aujourd’hui, il a failli oublier les traits exacts. C’était le souvenir d’un petit garçon qu’il gardait à l’esprit, et il se retrouve brutalement face à un jeune homme splendide.
Instinctivement, il a besoin de s’en rapprocher ; il a besoin de faire connaissance avec lui, devenir amis, partager son âme, tout lui donner, tout savoir de lui. Et en même temps, quelque chose au fond de son esprit rationnel s’inquiète d’être ainsi porté vers lui.
Il sait qu’il aimait son petit frère : c’était sa seule famille, la personne la plus chère à son cœur, plus encore depuis la mort de leur mère. C’était tout ce qu’il y a de plus normal. Jamais il n’aurait eu une pensée déplacée, jamais il ne l’a désiré. Il s’étonne même de pouvoir penser à ça aujourd’hui, ça n’aurait jamais dû lui venir à l’esprit. Il rêvait de lui rendre son corps, mais n’a jamais pensé plus loin que l’enfant de dix ans disparu sous ses yeux par sa faute.
Aujourd’hui, il se retrouve face à une âme d’Al qui lui semble hors de portée, et un corps au contraire dangereusement proche. L’exact opposé de ce qui était son monde : ça tourne au délire…
Il a beau se répéter que cet Alfons Heiderich n’est pas son Alphonse, qu’il n’est qu’une sorte de double onirique, il ne peut s’empêcher de rechercher sa présence. Et cet homme est son seul espoir de rentrer un jour chez lui, se répète-t-il : il faut bien qu’ils travaillent ensemble ; tant mieux s’ils peuvent s’entendre à merveille. Il est sa lueur d’espoir, et ça suffit à faire taire ses idées bizarres de vouloir rester avec lui juste comme ça, de voir dans son cœur une nouvelle Pierre philosophale.
Surtout qu’insidieusement, cette idée qu’il n’est pas son frère a des effets inattendus : un prénom semblable, un nom déformé, le même visage dans des nuances différentes, un corps qu’il ne peut comparer à rien et qui existe juste par lui-même, cadeau du néant, un corps vivant… chaque fois qu’il se prend à se dire qu’il a ce dont son frère a été privé, un corps vivant, un cœur qui bat, du sang chaud, il contemple avec insistance cette idée : un cœur, un corps avec lequel il n’a aucun lien de sang, quelqu’un qu’il pourrait aimer sans commettre le tabou de l’inceste, sans ajouter ce péché à ceux qu’il a déjà commis ou pourrait encore commettre…
Auteur : ylg
Jour/Thème : 27 novembre, d’un monde à l’autre (présent ?)
Fandom : FullMetal Alchemist, anime et film
Personnage/Couple : Edward Elric, Ed/Heid, indices d’Ed/Al
Rating : PG
Disclaimer : à l’origine Arakawa Hiromu, puis des gens de chez Square Enix et de chez Bones
Participation au vote de fin de mois : peut-être
Note : écrit un peu l’arrache une nuit d’insomnie la semaine dernière, fini tout aussi à l’arrache, pas bien relu, loin d’être beta-lu… si quelqu’un pouvait vérifier ma concordance des temps foireuse et l’enchaînement entre les paragraphes, je lui serais infiniment reconnaissante =_=
Derrière la Porte, il y a la lumière, et un autre monde. Pas l’au-delà ni le Paradis, ni même l’Enfer. Dans la Porte, il y a des créatures de cauchemar qui vivent, qui attendent qu’un imprudent l’entrouvre pour l’attirer à eux ou eux s’échapper par ici. Et encore derrière eux, si on y arrive, si une force vous pousse à travers cette Porte et que vous passez sans vous faire dévorer, il y a un autre monde.
Ça lui rappelle un livre que Tante Sarah leur avait lu une fois quand ils étaient enfants –Winry avait adoré, Al en avait eu peur, lui avait trouvé que c’était n’importe quoi : une enfant qui passait à travers un miroir et se retrouvait dans un monde complètement loufoque, avant de se rendre compte qu’il s’agissait en fait d’un rêve.
Pour loufoque, il l’est, ce monde derrière la Porte. Il a voulu croire, souvent, que c’était juste un rêve et qu’enfin, il allait se réveiller, trouver les yeux attentifs de son frère brillant dans le heaume vide, seule étincelle de vie prouvant qu’il était encore là, veillant sur son sommeil agité.
Mais non.
Un reflet grotesque et déformé, incroyable mais définitivement réel ; un monde qui n’est pas le sien, dont chaque ressemblance cache une différence cruelle.
Il se sent amputé d’une partie de son être, dans ce monde. Il n’a plus Al, son petit frère, la moitié de lui-même. Il ne peut plus utiliser l’alchimie pour les mille et un petits riens de la vie quotidienne, comme il en a le réflexe ; il a même perdu ça, se trouve à chercher les gestes à faire, comme un bébé qui ne sait rien.
Et puis, il est réellement amputé, de sa jambe et son bras offerts de nouveau pour la vie de son frère, handicapé, mutilé, rendu impuissant, dépendant de son père. Comme un bébé ou une épave humaine, jusqu’à ce qu’enfin, celui-ci arrive à lui fabriquer des prothèses qui ne vaudront jamais un bon automail. Il se retrouve dans la peau du misérable tas de viande blessé et sans vie qu’il était devenu à onze ans, quand tout son monde s’était écroulé autour de lui pour la première fois, avant qu’il n’arrive à trouver la force d’avancer encore.
Ces automails, il voulait absolument s’en débarrasser. Parce qu’il voulait récupérer son corps de chair… Et aujourd’hui il n’a plus ni l’un ni l’autre. Il a tout donné en échange de son petit frère, qui lui a pourtant été arraché : où est l’Equivalence là-dedans ? ils sont peut-être en vie, mais chacun dans un monde différent, séparés, sans certitude que l’autre est bien vivant, et d’ailleurs ils ne vivent plus qu’à moitié, sans l’autre. Car Alphonse lui aussi doit souffrir tout autant que lui…
Il n’y a aucune compensation à cela.
Cette foutue Porte s’est jouée de lui, lui qui trop souvent joué avec l’alchimie et a tenté de tricher avec elle. Voilà sa punition : un monde qui chaque jour lui rappelle chez lui, sans être le sien.
Un monde où les alchimistes sont des fous et les mécaniciens des rois. Ça ferait plaisir à Winry, de le connaître, peut-être, mais Winry n’est pas dans ce monde… il est tout seul ici. La seule personne qui le connaît, c’est la seule avec qui il ne souhaitait pas vivre : il doit vivre sans son frère et sans son amie, apprendre à faire avec ce père qui l’avait abandonné, enfant, et qui s’occupe désormais de lui comme jamais il ne l’a fait autrefois.
Ce monde tourne autour de lui sans qu’il puisse le comprendre, exactement comme dans un rêve. Il continue à espérer qu’un jour, il s’en réveillera.
Jusqu'à ce qu’il croise ce garçon…
Un reflet dans une glace déformante. Des cheveux plus clairs encore que les siens, des yeux bleu glace. Mais le même regard, le même sourire, et le visage qu’Al aurait eu, sans nul doute, s’il avait atteint un jour l’âge de seize ans. Un corps vivant, un cœur qui bat, du sang chaud, tout ce dont son frère a été privé… Il n’en revient pas.
Pendant des années, son frère a été une âme pure à ses côtés, toujours près de lui au point qu’il en vienne à le considérer comme une partie de lui. Et dont, il a honte de l’admettre aujourd’hui, il a failli oublier les traits exacts. C’était le souvenir d’un petit garçon qu’il gardait à l’esprit, et il se retrouve brutalement face à un jeune homme splendide.
Instinctivement, il a besoin de s’en rapprocher ; il a besoin de faire connaissance avec lui, devenir amis, partager son âme, tout lui donner, tout savoir de lui. Et en même temps, quelque chose au fond de son esprit rationnel s’inquiète d’être ainsi porté vers lui.
Il sait qu’il aimait son petit frère : c’était sa seule famille, la personne la plus chère à son cœur, plus encore depuis la mort de leur mère. C’était tout ce qu’il y a de plus normal. Jamais il n’aurait eu une pensée déplacée, jamais il ne l’a désiré. Il s’étonne même de pouvoir penser à ça aujourd’hui, ça n’aurait jamais dû lui venir à l’esprit. Il rêvait de lui rendre son corps, mais n’a jamais pensé plus loin que l’enfant de dix ans disparu sous ses yeux par sa faute.
Aujourd’hui, il se retrouve face à une âme d’Al qui lui semble hors de portée, et un corps au contraire dangereusement proche. L’exact opposé de ce qui était son monde : ça tourne au délire…
Il a beau se répéter que cet Alfons Heiderich n’est pas son Alphonse, qu’il n’est qu’une sorte de double onirique, il ne peut s’empêcher de rechercher sa présence. Et cet homme est son seul espoir de rentrer un jour chez lui, se répète-t-il : il faut bien qu’ils travaillent ensemble ; tant mieux s’ils peuvent s’entendre à merveille. Il est sa lueur d’espoir, et ça suffit à faire taire ses idées bizarres de vouloir rester avec lui juste comme ça, de voir dans son cœur une nouvelle Pierre philosophale.
Surtout qu’insidieusement, cette idée qu’il n’est pas son frère a des effets inattendus : un prénom semblable, un nom déformé, le même visage dans des nuances différentes, un corps qu’il ne peut comparer à rien et qui existe juste par lui-même, cadeau du néant, un corps vivant… chaque fois qu’il se prend à se dire qu’il a ce dont son frère a été privé, un corps vivant, un cœur qui bat, du sang chaud, il contemple avec insistance cette idée : un cœur, un corps avec lequel il n’a aucun lien de sang, quelqu’un qu’il pourrait aimer sans commettre le tabou de l’inceste, sans ajouter ce péché à ceux qu’il a déjà commis ou pourrait encore commettre…
no subject
Et donc, au final, j'aime bien. ^_^
"Un monde où les alchimistes sont des fous et les mécaniciens des rois."
----> J'adore cette phrase. :)
Et sinon, vu que je venais de faire exactement le même exercice, c'est intéressant, parce que ça permet de voir les différences de perception du même personnage. Ton Edward me paraît... "plus jeune", peut-être? En tout cas, ça lui donne un côté attachant. :)
Pour la petite relecture demandée...
- premier paragraphe : je pense qu'il faudrait revoir la construction de "pour l’attirer à eux ou eux s’échapper par ici", ça me paraît pas très clair
- deuxième paragraphe : concordance des temps "prouvant qu’il était encore là"
- cinquième paragraphe : concordance des temps "quand tout son monde s’était écroulé"
- huitième paragraphe : je pense qu'il faudrait revoir la construction autour du "où", tel quel c'est un peu bizarre
- ... c'est tout ce que je vois. Mais il est tard pour moi aussi. ^_^
no subject
oops, j'espère ne pas l'avoir fair OOC, du coup ? je ne maîtrise pas du tout Ed...
merci beaucoup pour les corrections... je crois que je verrai ça demain : là j'ai un peu trop de mal à réfléchir, là x_x
no subject
Pour ton Ed, je ne pense pas qu'il soit OOC, ça doit plus être une question d'interprétation. Et puis c'est vrai que animeverse, Ed semble souffrir d'un grand manque de maturité jusqu'aux tous derniers épisodes. -_-
(Mais dis, tu l'aimes pas, Ed ..?)
Et de rien pour les corrections... J'espère juste pas avoir dit n'importe nawak. -_-
no subject
oui mais justement, là on est après ces trois derniers épisodes... hum, peut-être que le fait d'avoir perdu tous ses repères a pu aussi lui faire perdre la maturité acquises dans son monde ?
(pas vraiment. je ne le déteste pas non plus, loin de là, mais bon : il a 50 épisodes et un film de développement
et un troupeau de fangirlset moi je préfère les persos secondaires ^^; )no subject
Mouais... Peut-être que ça peut aller de pair avec son obligation de tout réapprendre comme un bébé, son envie de bouder parce la Porte l'a trompée...
Et puis peut-être aussi que c'est juste moi qui le perçoit comme trop jeune, hein. En fait, je ne pense pas que tu doives vraiment t'en inquiéter. ^_^
(J'aime beaucoup aussi les persos secondaires. Surtout qu'avec FMA, on est vraiment gâtés à ce niveau-là. ^^ Mais bon, Ed conserve une place particulière pour moi, parce que c'est sa personnalité qui m'a donné envie de voir la suite de la série alors que les premiers épisodes ne m'avaient pas convaincue. Il changeait agréablement des héros de shonen habituels. Et je l'ai encore plus aimé ensuite. Donc... tant pis si ça me vaut de faire partie d'un troupeau. ^^)
no subject
-1er paragraphe : ah, ça ne se dit pas ? ...allons bon, quand ce ne sont pas les anglicismes ou les expressions québécoises 'faut que ça soit les expressions nordistes XD
au temps pour moi...
-2ème, 5ème : merci, j'avais bien peur de me planter ^^;
-8ème : ...ouhlala qu'est-ce que j'ai merdé en fusionnant deux phrases, moi XD
bon, je vais corriger ça
arg, qu'est-ce que j'ai fait comme fautes nulles o_Ono subject
Autant le Ed/Al je n'aime pas du tout, autant que le Heid/Ed j'adore *___*
Et puis le Ed/Al que tu as écrit passe ^^
no subject
no subject
dont chaque ressemblance cache une différence cruelle. => j'aime beaucoup cette phrase ^^
no subject
il faut savoir passer outre les couples qui nous font peur<= tu parles, je n'en lis quasiment jamais moi-même, du ed/al XDmerci ^^
no subject
Faut vraiment que je me renseigne sur tout ça~ *super intéressée*
no subject
dans le film, deux ans plus tard, Ed a appris à vivre dans ce monde, et y a rencontré une version alternative de Hughes, et surtout une version alternative de son frère : Alfons Heiderich, fuséologue (comme il ne peut plus se servir de l'alchimie pour rouvrir ce foutu passage entre les deux mondes, il s'imagine qu'en allant voyager entre les étoiles il pourrait...)
et Heiderich est suuuuper louche d'avec Ed *o*
no subject
no subject
*se taira au moins sur le manga*l'anime, oui, le film, vaut mieux pas : hormis Alfons Heiderich, c'est
d'la merdedu gros n'importe quoi. les scénaristes ont fait un boulot minableet les animateurs, c'est guêre mieux.no subject
et le fanserviceno subject
no subject
c'est la faute du thème'faut croire que la mise en place du film ne nous a inspiré que des idées moches éèj'aime bien le Heid/Ed, moi... même si c'est vrai que dans l'autre sens ça marche moins bien, justement à cause du Ed/Al ^^;
no subject
J'aime beaucoup, et elel ne ressemble pas à l'autre, t'inquiète pas :D
no subject
ouep : chacun son interprétation du thème, même avec le même perso et la même situation de départ et puis l'autre est mieux fichue, quand même
ah-ha, c'était pareil la dernière fois sur
quatre_temps ^^;;;no subject