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Titre : Nicholas
Auteur :
isil_chan
Jour/Thème : 16 octobre/nuit noire
Fandom : le Cycle des Cinq (ou le Cycle du Pentagramme, je sais jamais o_O)
Personnages/Couple : Nicholas/Will
Rating : PG-13
Disclaimer : Les personnages appartiennent à Anthony Horowitz.
Participation au vote de fin de mois : Oui
Notes : Ils sont tirés d'un cycle non terminé de 4 bouquins qui met en scène 5 adolescents dotés de super pouvoirs pour sauver le monde. Je pense, et j'espère, que la fic se passe d'explications... Sinon, vous pouvez demander! Et bon sang... o_O J'ai écrit sur un fandom rare! Genre vraiment rare! Le genre dont je ne sais même pas si les gens connaissent... Et en plus, j'y ai mis du slash! J'ai souillé le fandom de mon enfance!!!
Enfin, tant pis, j'avais envie, je l'ai écrit! ^_^
Nous sommes tous en train de travailler, laborieusement penchés sur nos devoirs malgré l’heure plus que tardive. Moi, l’espagnol me barbe franchement. Evidemment, je comprends que ce soit important, vu qu’on est partis pour rester un bon moment au Pérou, mais c’est plutôt le fait de devoir rester des heures devant une feuille qui m’ennuie. Je n’y ai jamais été vraiment habitué… Et puis, avec un professeur aussi sévère qu’Augusta Chambers, c’est pas une partie de plaisir non plus…
L’archéologie, c’est l’étude des vieilles choses, même si Chambers fronce le nez quand elle nous entend dire ça. Ca signifie donc qu’elle est plus douée pour les trucs déjà morts et enterrés depuis des siècles que pour s’occuper d’adolescents comme nous. Résultat, elle nous assomme de trucs à étudier…
« Avoue que son fameux argument du ‘Sauver le monde ne vous dispense pas de savoir écrire correctement, Nicholas Helsey !’ tient la route! » me fait remarquer Jeremy en pensée, imitant particulièrement bien le ton impérieux de l’archéologue.
Je ricane silencieusement et lance un regard complice à mon frère. Jeremy me fait un clin d’œil, puis retourne à son anglais, beaucoup plus sagement que moi. Il a toujours été plus raisonnable, de toute façon.
« Ravi de te l’entendre enfin dire… » me taquine mon frère sans ouvrir la bouche.
Cette fois-ci, je ne résiste pas et je le pousse du coude pour me venger. Nous rions tous les deux, brisant le silence de la pièce.
Dans leur coin, Martin et Pedro ne bronchent pas. C’est à peine si le Péruvien relève la tête pour nous regarder d’un air blasé. Ces deux-là sont habitués, et c’est presque agréable de voir que nos manières étranges de télépathes ne les choquent pas.
De l’autre côté de la pièce, nos deux résidents asiatiques eux, redressent la tête. Chen a l’air mal à l’aise et quant à Will, ses yeux verts pétillent d’amusement en se posant sur nous. Je lui souris en réponse et ignore la Chinoise.
Quoique, à bien y réfléchir, ça me pèse un peu, cette réaction qu’elle a, à chaque fois. C’est comme si nous Cinq étions les seuls à nous comprendre vraiment, à trouver naturel de parler par la pensée, de guérir par imposition des mains ou de commander au temps… Les autres acceptent notre différence ou pas, mais ils ne comprennent pas. Pas vraiment. Ils ne savent pas la difficulté de retenir son pouvoir, de ne pas aller voir sans cesse dans leurs pensées par curiosité ou simplement par habitude… Ils ne comprennent pas l’effort que demande le contrôle absolu sur ses émotions pour ne pas déclencher de tempête ou de tremblement de terre… Ils ne savent pas.
Chen ne sourcille pas en voyant Will manquer de détruire tout Honk-Kong en déclenchant un cyclone mais elle fronce le nez en nous voyant user de télépathie, Jeremy et moi.
« Ce n’est pas tant la télépathie qui la gêne que le fait que nous autres Helsey n’ayons pas d’aussi jolis yeux que Will, » fait remarquer Jeremy, ses pensées teintées d’amusement.
Il n’y a rien à répondre à ça, surtout quand Will nous gratifie d’un dernier sourire avant de se pencher à nouveau sur son livre. Je me retrouve à me tortiller sur mon siège, m’attirant un nouveau regard étrange de la part de Chen.
Un toussotement discret de la part de Martin me fait sourire, et j’en aperçois le reflet derrière les mèches claires qui lui tombent dans les yeux. D’accord, visiblement, mon cirque est évident…
« A ce niveau là, ce n’est plus de l’évidence, Nick. Tout le monde s’est rendu compte que tu n’aimes guère Chen. Tu pourrais éviter de la fusiller du regard en ce moment même, par exemple… Même Martin se moque de toi. »
Jeremy, la voix de la Sagesse… Je n’ai rien contre elle, hormis le fait qu’elle ne nous comprenne pas et qu’elle voie d’un œil visiblement méprisant nos échanges, à Jeremy et à moi. Et puis il y a Will…
« Je sors un moment. »
Pedro me regarde me lever, perplexe.
« Il fait nuit noire, Nick. Tu as vu l’heure ? » me demande t’il.
« J’ai trop chaud. J’ai besoin de prendre un peu l’air. »
Ils me laissent sortir sans trop réagir, tous habitués à ce besoin parfois soudain de solitude qui nous frappe parfois. Même Jeremy ne fait pas mine de me suivre, mais je sens son amusement plus qu’autre chose.
« Espérons que l’air frais rafraîchira tes joues, tu es rouge comme une pivoine, » me fait-il très cruellement remarquer. L’écho de son éclat de rire mental résonne dans ma tête tandis que je pousse la porte de la véranda.
Je fais quelques pas sur la terrasse baignée par la lueur faible de la lune et finis par m’appuyer contre la rembarde. Le Professeur Chambers a vraiment une belle propriété, il faut l’admettre. Pour des gosses comme nous, tous plus ou moins élevés chichement, comme Martin, comme des chiens pour Jeremy et moi voire carrément dans la rue comme Pedro, c’est même un peu étourdissant. Il n’y a guère que Will, adopté par une famille aisée, qui s’y sent à son aise.
Je soupire. Et voilà, j’y repense… Je ne sais pas pourquoi il m’intéresse autant.
William Tyler, au teint ambré, aux cheveux de jais et aux yeux en amande, couleur d’émeraude… Pas étonnant qu’il tourne la tête de Chen, à bien y réfléchir…
Bon sang… il fait tourner la mienne, aussi !
Au fond de mon esprit, je ressens la satisfaction de Jeremy. C’est la première fois que j’admets ça moi-même… Il me donne l’équivalent d’une accolade mentale, puis me laisse seul avec mes pensées.
Will…
Will et Chen.
C’est presque amusant. Dans notre petit groupe hétéroclite, composé d’une archéologue, d’un journaliste miteux, d’une écrivain raté, de cinq adolescents paumés et d’une chinoise larguée, nous sommes rarement seuls. On parle de Pedro et Martin, de Jeremy et Nicholas et de Will et Chen. C’est comme ça.
Elle nous a raconté cent fois la nuit qu’ils ont passé ensemble sur une jonque dans le port de Hong-Kong, et comment Will a fait se dissiper les nuages qui leur masquaient la lune… Son émerveillement est perceptible à chaque fois, ainsi que la gêne de Will dont les joues s’empourprent invariablement. Il marmonne qu’il ne savait pas vraiment ce qu’il faisait, mais elle continue à s’extasier devant nous…
Jaloux, moi ? C’est stupide…
Je frissonne et jette un regard rageur vers la lune. Pour un peu, je déclarerais que c’est sa faute, tout ça ! Et je me contrefiche d’être enfantin… Depuis notre enfance et la mort de nos parents adoptifs, Jeremy et moi avons été forcés d’agir comme des adultes pour éviter les taloches de l’Oncle Don alors j’ai bien le droit de me laisser aller une fois de temps en temps… Les occasions sont si rares, de nos jours.
« Qu’est-ce qu’elle t’a fait, cette pauvre lune ? » demande une voix derrière moi, me faisant sursauter.
Je me retourne et il est là. Will.
« Rien. Elle éclaire trop, c’est tout. »
Ma réponse me paraît complètement stupide, et une nouvelle vague de ressentiment envers la lune m’envahit. Si elle pouvait disparaître et cacher mes joues rouges, ce ne serait pas du luxe !
Will a un petit sourire et il vient se placer à côté de moi, épaule contre épaule. Les battements de mon cœur s’accélèrent un peu. Il a fallu que je naisse comme l’un des Cinq, télépathe et visiblement intéressé par la gent masculine. Quelqu’un s’acharne sur moi, c’est sûr…
« Tu préfères le noir ? » demande Will à voix basse.
Je hausse les épaules mais ne réponds rien. Du coin de l’œil, je vois mon ami lever le bras vers la lune et je sens comme une légère brise, tout à coup. Et puis ils sont là… Les nuages. Ils masquent petit à petit la lune et nous sommes bientôt plongés dans la pénombre.
Il y a comme un nœud au creux de mon estomac quand Will soupire d’aise à côté de moi. Son épaule semble soudain appuyer plus fermement sur la mienne et les nuages dissimulent un sourire sur mon visage.
Puis, à l’aveuglette puisqu’il fait à présent nuit noire, je devine de mes lèvres le sourire qui erre sur celles de Will.
FIN.
Auteur :
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Jour/Thème : 16 octobre/nuit noire
Fandom : le Cycle des Cinq (ou le Cycle du Pentagramme, je sais jamais o_O)
Personnages/Couple : Nicholas/Will
Rating : PG-13
Disclaimer : Les personnages appartiennent à Anthony Horowitz.
Participation au vote de fin de mois : Oui
Notes : Ils sont tirés d'un cycle non terminé de 4 bouquins qui met en scène 5 adolescents dotés de super pouvoirs pour sauver le monde. Je pense, et j'espère, que la fic se passe d'explications... Sinon, vous pouvez demander! Et bon sang... o_O J'ai écrit sur un fandom rare! Genre vraiment rare! Le genre dont je ne sais même pas si les gens connaissent... Et en plus, j'y ai mis du slash! J'ai souillé le fandom de mon enfance!!!
Enfin, tant pis, j'avais envie, je l'ai écrit! ^_^
Nous sommes tous en train de travailler, laborieusement penchés sur nos devoirs malgré l’heure plus que tardive. Moi, l’espagnol me barbe franchement. Evidemment, je comprends que ce soit important, vu qu’on est partis pour rester un bon moment au Pérou, mais c’est plutôt le fait de devoir rester des heures devant une feuille qui m’ennuie. Je n’y ai jamais été vraiment habitué… Et puis, avec un professeur aussi sévère qu’Augusta Chambers, c’est pas une partie de plaisir non plus…
L’archéologie, c’est l’étude des vieilles choses, même si Chambers fronce le nez quand elle nous entend dire ça. Ca signifie donc qu’elle est plus douée pour les trucs déjà morts et enterrés depuis des siècles que pour s’occuper d’adolescents comme nous. Résultat, elle nous assomme de trucs à étudier…
« Avoue que son fameux argument du ‘Sauver le monde ne vous dispense pas de savoir écrire correctement, Nicholas Helsey !’ tient la route! » me fait remarquer Jeremy en pensée, imitant particulièrement bien le ton impérieux de l’archéologue.
Je ricane silencieusement et lance un regard complice à mon frère. Jeremy me fait un clin d’œil, puis retourne à son anglais, beaucoup plus sagement que moi. Il a toujours été plus raisonnable, de toute façon.
« Ravi de te l’entendre enfin dire… » me taquine mon frère sans ouvrir la bouche.
Cette fois-ci, je ne résiste pas et je le pousse du coude pour me venger. Nous rions tous les deux, brisant le silence de la pièce.
Dans leur coin, Martin et Pedro ne bronchent pas. C’est à peine si le Péruvien relève la tête pour nous regarder d’un air blasé. Ces deux-là sont habitués, et c’est presque agréable de voir que nos manières étranges de télépathes ne les choquent pas.
De l’autre côté de la pièce, nos deux résidents asiatiques eux, redressent la tête. Chen a l’air mal à l’aise et quant à Will, ses yeux verts pétillent d’amusement en se posant sur nous. Je lui souris en réponse et ignore la Chinoise.
Quoique, à bien y réfléchir, ça me pèse un peu, cette réaction qu’elle a, à chaque fois. C’est comme si nous Cinq étions les seuls à nous comprendre vraiment, à trouver naturel de parler par la pensée, de guérir par imposition des mains ou de commander au temps… Les autres acceptent notre différence ou pas, mais ils ne comprennent pas. Pas vraiment. Ils ne savent pas la difficulté de retenir son pouvoir, de ne pas aller voir sans cesse dans leurs pensées par curiosité ou simplement par habitude… Ils ne comprennent pas l’effort que demande le contrôle absolu sur ses émotions pour ne pas déclencher de tempête ou de tremblement de terre… Ils ne savent pas.
Chen ne sourcille pas en voyant Will manquer de détruire tout Honk-Kong en déclenchant un cyclone mais elle fronce le nez en nous voyant user de télépathie, Jeremy et moi.
« Ce n’est pas tant la télépathie qui la gêne que le fait que nous autres Helsey n’ayons pas d’aussi jolis yeux que Will, » fait remarquer Jeremy, ses pensées teintées d’amusement.
Il n’y a rien à répondre à ça, surtout quand Will nous gratifie d’un dernier sourire avant de se pencher à nouveau sur son livre. Je me retrouve à me tortiller sur mon siège, m’attirant un nouveau regard étrange de la part de Chen.
Un toussotement discret de la part de Martin me fait sourire, et j’en aperçois le reflet derrière les mèches claires qui lui tombent dans les yeux. D’accord, visiblement, mon cirque est évident…
« A ce niveau là, ce n’est plus de l’évidence, Nick. Tout le monde s’est rendu compte que tu n’aimes guère Chen. Tu pourrais éviter de la fusiller du regard en ce moment même, par exemple… Même Martin se moque de toi. »
Jeremy, la voix de la Sagesse… Je n’ai rien contre elle, hormis le fait qu’elle ne nous comprenne pas et qu’elle voie d’un œil visiblement méprisant nos échanges, à Jeremy et à moi. Et puis il y a Will…
« Je sors un moment. »
Pedro me regarde me lever, perplexe.
« Il fait nuit noire, Nick. Tu as vu l’heure ? » me demande t’il.
« J’ai trop chaud. J’ai besoin de prendre un peu l’air. »
Ils me laissent sortir sans trop réagir, tous habitués à ce besoin parfois soudain de solitude qui nous frappe parfois. Même Jeremy ne fait pas mine de me suivre, mais je sens son amusement plus qu’autre chose.
« Espérons que l’air frais rafraîchira tes joues, tu es rouge comme une pivoine, » me fait-il très cruellement remarquer. L’écho de son éclat de rire mental résonne dans ma tête tandis que je pousse la porte de la véranda.
Je fais quelques pas sur la terrasse baignée par la lueur faible de la lune et finis par m’appuyer contre la rembarde. Le Professeur Chambers a vraiment une belle propriété, il faut l’admettre. Pour des gosses comme nous, tous plus ou moins élevés chichement, comme Martin, comme des chiens pour Jeremy et moi voire carrément dans la rue comme Pedro, c’est même un peu étourdissant. Il n’y a guère que Will, adopté par une famille aisée, qui s’y sent à son aise.
Je soupire. Et voilà, j’y repense… Je ne sais pas pourquoi il m’intéresse autant.
William Tyler, au teint ambré, aux cheveux de jais et aux yeux en amande, couleur d’émeraude… Pas étonnant qu’il tourne la tête de Chen, à bien y réfléchir…
Bon sang… il fait tourner la mienne, aussi !
Au fond de mon esprit, je ressens la satisfaction de Jeremy. C’est la première fois que j’admets ça moi-même… Il me donne l’équivalent d’une accolade mentale, puis me laisse seul avec mes pensées.
Will…
Will et Chen.
C’est presque amusant. Dans notre petit groupe hétéroclite, composé d’une archéologue, d’un journaliste miteux, d’une écrivain raté, de cinq adolescents paumés et d’une chinoise larguée, nous sommes rarement seuls. On parle de Pedro et Martin, de Jeremy et Nicholas et de Will et Chen. C’est comme ça.
Elle nous a raconté cent fois la nuit qu’ils ont passé ensemble sur une jonque dans le port de Hong-Kong, et comment Will a fait se dissiper les nuages qui leur masquaient la lune… Son émerveillement est perceptible à chaque fois, ainsi que la gêne de Will dont les joues s’empourprent invariablement. Il marmonne qu’il ne savait pas vraiment ce qu’il faisait, mais elle continue à s’extasier devant nous…
Jaloux, moi ? C’est stupide…
Je frissonne et jette un regard rageur vers la lune. Pour un peu, je déclarerais que c’est sa faute, tout ça ! Et je me contrefiche d’être enfantin… Depuis notre enfance et la mort de nos parents adoptifs, Jeremy et moi avons été forcés d’agir comme des adultes pour éviter les taloches de l’Oncle Don alors j’ai bien le droit de me laisser aller une fois de temps en temps… Les occasions sont si rares, de nos jours.
« Qu’est-ce qu’elle t’a fait, cette pauvre lune ? » demande une voix derrière moi, me faisant sursauter.
Je me retourne et il est là. Will.
« Rien. Elle éclaire trop, c’est tout. »
Ma réponse me paraît complètement stupide, et une nouvelle vague de ressentiment envers la lune m’envahit. Si elle pouvait disparaître et cacher mes joues rouges, ce ne serait pas du luxe !
Will a un petit sourire et il vient se placer à côté de moi, épaule contre épaule. Les battements de mon cœur s’accélèrent un peu. Il a fallu que je naisse comme l’un des Cinq, télépathe et visiblement intéressé par la gent masculine. Quelqu’un s’acharne sur moi, c’est sûr…
« Tu préfères le noir ? » demande Will à voix basse.
Je hausse les épaules mais ne réponds rien. Du coin de l’œil, je vois mon ami lever le bras vers la lune et je sens comme une légère brise, tout à coup. Et puis ils sont là… Les nuages. Ils masquent petit à petit la lune et nous sommes bientôt plongés dans la pénombre.
Il y a comme un nœud au creux de mon estomac quand Will soupire d’aise à côté de moi. Son épaule semble soudain appuyer plus fermement sur la mienne et les nuages dissimulent un sourire sur mon visage.
Puis, à l’aveuglette puisqu’il fait à présent nuit noire, je devine de mes lèvres le sourire qui erre sur celles de Will.
FIN.
(no subject)
Date: 2006-10-16 02:36 pm (UTC)Et puis la façon dont tu décris leur équipe, et Augusta en particulier.
Tu me savais, qu'il y avait au moins moi qui connaissais le fandom, hein . :-)
"Avoue que son fameux argument du ‘Sauver le monde ne vous dispense pas de savoir écrire correctement, Nicholas Helsey !"
Nya, il ne manque pas un verbe, là ?
(no subject)
Date: 2006-10-16 05:32 pm (UTC)Effectivement, je savais que toi tu avais lu ^^ En réalité, c'est aussi pour ça que j'ai posté la fic au lieu de la garder dans mon disque dur ^^ Parce que je savais (ou au moins j'espérais) que toi au moins, tu apprécierais :)
(oui, phrase corrigée, ça m'apprendra à écrire une phrase en une heure entre trois étudiants ^^)
(no subject)
Date: 2006-10-16 03:03 pm (UTC)il y a des gens très bien à qui ça arrive !
ça peut même devenir un hobby ^^;;;(no subject)
Date: 2006-10-16 05:33 pm (UTC)Et je sais, tu es une "gens biens" XD
Ca risque, vu que j'ai prévu d'autres fics au moins sur ce fandom ^^(no subject)
Date: 2006-10-16 06:42 pm (UTC)et vive les pairings pas conventionnels !
(no subject)
Date: 2006-10-17 01:57 pm (UTC)Ah lala, je vais me la relire ^^' J'aime bien comment tu décris l'ambiance entre tous et la façon dont ils se perçoivent les uns, les autres. C'est bien.
(no subject)
Date: 2006-10-17 02:14 pm (UTC)tu les as encore, toi? *o* Moi ma mère les a jetés, cette sauvage >_< *va les racheter d'occase*
Moi, mon perso préféré, c'était vraiment Nick, mais Will est pas loin derrière (ça se voit, non? XD) mais en fait, ils sont tous bien, ces personnages! *couine*
Très contente que la fic t'aie plu
il y a des chances qu'il y en ait d'autres, pour info ^^(no subject)
Date: 2010-03-30 09:53 pm (UTC)La fic était super bien, les descriptions, les voix des persos, tout était nickel. En plus c'est agréable de les voir tous ensemble, juste interagir normalement, ça manquait cruellement dans les livres..