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Titre : La fin d'une enfance
Auteur : Solhaken
Jour/Thème : 5 octobre/papier mâché
Fandom : original
Personnages : Narkos
Rating: R
Disclaimer : à moi
Notes : bon, je voulais me remettre à écrire sur 31 jour, mais je voulais pas écrire un truc de ce genre, me suis laissais emporter...
Participation au vote de fin de mois: je trouve pas ce texte bien donc non
L'appartement était désert, m'y introduire, rien de plus simple... La police avait posé des scellés sur la porte, ils avaient oublié la fenêtre. A moins que Dorian n'y soit pour quelque chose... Dans le séjour rien ne semblait avoir était touché. Le meurtre a eut lieu dans la chambre... Je poussais une porte, réalisant un peu tard que je venais de laisser une fort belle série d'empruntes... Avec un haussement d'épaule je continuais les flics ne connaissaient pas mon nom. Le jour où la police humaine arrêterait le prince de Lekanor n'arriverait pas de sitôt et ce jour la ils ne seraient de toute manière incapable de connaître le nombre de personne qui avaient pu mourir de ma main... Je ne m'en souvenais pas moi-même. Mais après tout, lorsque l'on vient d'un autre monde...
L'odeur du sang planait dans cette pièce, il avait sans doute agressé l'odorat pourtant peu aiguisé des flics. Pour moi cette odeur n'a jamais rien eut de désagréable. Il n'y a que les humains pour craindre de voir ce qui coule dans leurs veines.
Ici la pièce était maculée de sang, la femme s'était défendu, mais pas assez. Les humains avaient été horrifier de voir la scène du crime avait dit Dorian. En y réfléchissant, il y avait de quoi. Maureen n'avait pas été tué par un être humain, ça les flics ne l'admettraient jamais, dés lors, un tel carnage fait par un humain ne pouvait que les glacer d'horreur, au fond d'eux ils avaient peur, mais refuser de le reconnaître.Sur une commode gisait un cœur de papier mâché. Je le ramassais machinalement et lu les mots inscrit dessus sans y prêter attention. Bonne fête Maman... Je parcourais la pièce du regard. Un enfant avait vécu ici ? Autre chose attira mon attention, un mouvement à la limite de mon champs de vision. Merde ! L'agresseur était revenu... Je fourrais le cœur dans la poche et cherchais une arme des yeux. Maudit monde où les épées ne sont pas de mise ! Se battre contre la créature à main nue ? Et puis quoi encore ?! Restait encore une solution, un arkante n'est jamais désarmais. Je souriais alors que la bête s'avançait.
- Sale clebs ! Allez ! Viens mourir ! J'ai la dalle !
Un corps fin et musclé, une tête reptilienne et le corps à demis recouvert d'écailles... Dorian allait me tuer pour avoir transformer la scène du crime en arène de combat. Les ailes membraneuses de la créature étaient rabattues sur son dos, et dans mon propre dos j'entendis un son qui me glaça, un sanglot étouffé. Merde ! Il y avait eut un enfant sur les lieux du crime, un enfant qui était toujours la... Dans cette pièce était caché quelque chose que quelqu'un cherchait à s'approprier. Quelqu'un qui avait tuer une mère sous les yeux de sa fille. Je tournais le dos et découvris l'enfant. Huit ans, tout au plus... Un regard terrifié qui fixait l'animal derrière moi. Ils avaient enlevé une enfant et revenaient se cacher sur les lieux même du crime. Cette attitude me donnait envie de mordre.- Comment tu t'appel ?
- C'est toi qui as fait ça ?
Elle hocha timidement la tête. Derrière moi j'entendis la créature se rapprocher en grondant.- Il va vous tuer... Il a tué ma maman... Il va me dévorer...
La fillette poussa un cri, la créature bondit, une forme la percuta et la détourna de sa trajectoire. Je me relevais et prit la gamine dans mes bras. De l'autre côté de la pièce le loup se tenait au dessus du cadavre de l'animal. Dans la lumière du jour sa fourrure couleur de sang séché prenait des reflets d'or.
- Je vais t'emmener à l'abris... murmurais je à l'enfant. La bas il n'y aura plus de ce genre de monstre.
Les monstres qu'elle découvrirait seraient d'un autre genre... Mais son enfance était terminée. La mienne s'était achevée sur une lame, la sienne sous les crocs de ce qui n'aurait jamais du être pour elle autre chose qu'un cauchemar. Silencieux Sharn m'emboîta le pas. Je sortais sans me soucier des scellés brisés. L'enfant grandirait sur Hurukan, dans ma poche le cœur de papier mâché pesait le poids d'un nombre bien trop grand d'enfances brisées sur l'autel de la guerre. Ce combat ne concernait que les adultes que n'aurais je donné pour que jamais les enfants n'y soient mélés...
(no subject)
Date: 2006-10-06 05:46 pm (UTC)Par contre je ne comprend pas l'alusion 'aux pierres' qu'il cherche... ê__e ca doit être normal vu que c'est une original inconnue de ne mwa XD
Mais dans tout les cas, j'aime vraiment ce texte ! ^^
^^
Date: 2006-10-08 10:41 am (UTC)