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Titre: Qui a bu boira
Auteur: drakys
Jour/Thème: 11 juillet/Canicule
Fandom: les trois mousquetaires
Pairing: tréville/athos
Rating: NC-17 (sexe m/m complètement gratuit, pas trop horriblement graphique)
Disclaimer: alexandre dumas
Participation au vote de fin de mois: non
Notes: j'ai dû manquer d'oxygène au cerveau récemment, ça expliquerait vraiment beaucoup de choses. ou c'est peut-être la constante répétition de canicule/orage de notre charmant semblant d'été québécois qui est en train de me déranger la tête. en fait, c'est probablement le manque de sommeil.
...est-ce que j'ai l'air de quelqu'un qui essaie de se trouver quoi blâmer, là?
L'été battait campagne en lançant contre Paris ses offensives vagues de chaleur successives, desquelles Athos trouvait répit dans l'échappatoire coutumière qui lui était propre, dans le vin qu'il semblait consommer avec une régularité digne de louages. Les bouteilles, ou plutôt leur agréable contenu, ne réduisaient en rien la température infernale; l'ivresse la combattait tout simplement en la lui faisant presque oublier.
Le mousquetaire avait pour la belle saison une émotion mitigée. Il y avait d'une part les sentiments mélancoliques qui reprenaient contre lui leurs assauts assidus de mauvais souvenirs, il y avait de l'autre l'influence qu'un homme avait eu sur cette mélancolie rituelle.
Les souvenirs d'Athos le trahissaient souvent à propos de la première fois, l'ivresse et la déprime annuelle rendant sa mémoire peu fiable. Il ne pouvait pourtant ignorer qu'un treizième jour de juillet avait encore une fois changé sa vie, alors qu'il essayait dans sa tranquillité habituelle de se noyer dans verre sur verre de vin d'Espagne.
Mousquetaire depuis peu à cette date, ce que son air naturel de grande noblesse et son esprit vif des bons jours lui avait apporté d'amitiés, sa taciturnité estivale et autrement mauvais compagnonnage les beaux jours de l'été les lui faisait perdre momentanément. Tout emboissonné qu'il était, il avait tout de même reconnu cette voix empreinte de l'habitude du commandement qui s'adressait à lui et il avait relevé la tête pour confronter du regard le capitaine de Tréville...
***
Le beau visage d'Athos n'était pas visible, caché qu'il était sous ses longs cheveux retombant en mèches folles contre ses traits au rythme qu'on lui imposait et dont il ne se plaignait point. La sueur collait quelques-uns de ces fins fils foncés et épars à ses joues ou ils s'échouaient sur son noble front, selon la première de ces cibles qu'ils touchaient.
Le poids de la partie supérieure de son corps surtout déposé sur l'avant-bras droit, le mousquetaire tordait dans son autre poing, jointures blanchies par la force et l'intensité de la poigne, le drap sur lequel il était autrement appuyé des pieds et des genoux. Tête penchée vers avant, ses lèvres étaient entrouvertes de l'espace d'un souffle afin de lui permettre de respirer plus aisément, ses yeux entrouverts d'une ligne pour ne pas se retrouver aveugle dans tant de sensations.
Le mousquetaire ne s'était pas si éperdument perdu à de tels plaisirs si bassement physiques depuis longtemps, c'était pour lui une constatation toute faite d'étrangeté que de comprendre les rumeurs sur la réputation du capitaine des gardes royaux. Ayant entendu d'une oreille distraite, et surtout peu intéressée à de tels ragots, les mots qui s'échangeait sur la talent de Tréville à courir les ruelles, il n'avait jamais rien entendu qui supposait qu'il n'y avait pas que les jupons auxquels il prenait intérêt.
S'il entrouvrait les yeux un peu plus pour regagner un peu plus clair de vue, le mousquetaire pouvait voir les mains de l'autre homme, fermement plantés contre la couche, et il ne pouvait ignorer ni le mouvement sur de lui, ni les divines sensations qu'il provoquait. Une des mains s'effaça, l'équilibre fut repris de la manière prompte d'un homme habitué à de tels remaniements et les doigts de cette main ayant fuit se trouvèrent un autre endroit où venir aborder.
Athos serra les dents, un gémissement s'échappant traîtreusement de ses lèvres et sur un mot, sur un encouragement de l'autre homme, il ne retint aucune autre marque d'appréciation. Les doigts connaissaient de toute évidence leur travail à la perfection et le mousquetaire cacha son visage dans un oreiller.
Il ne doutait pas que sur ses joues était affiché un mélange de honte à cette soumission et de plaisir due à la même cause, marques écarlates toutes dues au plaisant effort, à la chaleur qu'il ressentait sans qu'elle n'eut rien à voir avec celle qui flottait dans l'air tout lourd de la saison. Tout empire qu'il eut sur lui-même, cet empire se morcela à pareils sagaces assauts et Athos cria sans suite tous les mots hachés de plaisir qu'il ne put contenir.
Dans la gorge de Tréville sembla gronder un tonnerre lointain qui ne fut prophétisé par aucun éclair et sa main cruelle ne s'éloigna pas aussitôt, rendant l'autre homme à demi-fou du contact si délicieusement douloureux sur cette sensibilité exacerbée découverte si nouvellement. Le capitaine des mousquetaires le relâcha enfin, ses doigts préférant aller s'ancrer à la peau pâle des hanches alors qu'il se redressait.
Le tonnerre entendu plus tôt s'amplifia à chaque geste et chaque geste apportait une nouvelle rapidité, plus désespérée et encore plus tendue vers la finalité de l'échange. Tréville gronda dans l'accomplissement, un bruit sourd qui fit plaisamment frissonner Athos, et les mains du capitaine des mousquetaires se resserrèrent douloureusement, laissant un souvenir de marques rouges.
Il n'y eut qu'un moment de chaleur dévorante, un feu tel qu'il effaça une seconde la faible compétition offerte par l'été et sa moite bouillanteur, et Tréville s'effondra à moitié contre lui avant de bouger pour le libérer.
Il n'y eut plus que deux respirations rapides et haletantes, deux corps reprenant empire sur eux-mêmes comme le capitaine attira son mousquetaire à lui et que le mousquetaire se laissa si aisément nicher dans ses bras et dans ses mains qui distribuaient leurs caresses rudes.
La conquête du jour par la nuit n'avait pas, ou si peu, rafraîchi le temps qu'à peine un frisson de vent caressait les deux corps enlacés. Athos accepta le contact des lèvres sur les siennes, trop fatigué pour détourner la tête et n'en ayant d'autre part pas la moindre envie.
"L'été est une si belle saison...", murmura Tréville.
"Il y règne une agréable chaleur", répondit d'à peine un souffle Athos, alors qu'il fermait les yeux et qu'il posait la tête contre le torse de l'autre homme.
***
Athos déboucha une nouvelle bouteille et emplit son verre une autre fois, une énième de ces fois qu'il ne comptait plus. L'été était déjà bien installé, ses chaudes griffes bien plantées au cœur même du mois de juillet et le mousquetaire buvait comme de coutume. Peut-être était-ce là la clé du rituel, ou simplement son amorce ou il était possible que ce n'était qu'un prétexte grossier pour justifier une folie.
Il but un autre verre et un autre encore, jusqu'à ce qu'un visage lui apparaisse sur ce terrain si familier des brumes de l'ivresse. Ce n'était peut-être qu'un rêve ou une illusion, mais il n'en suivit pas moins docilement ce rêve ou cette illusion.
(11 juillet 2006)
Auteur: drakys
Jour/Thème: 11 juillet/Canicule
Fandom: les trois mousquetaires
Pairing: tréville/athos
Rating: NC-17 (sexe m/m complètement gratuit, pas trop horriblement graphique)
Disclaimer: alexandre dumas
Participation au vote de fin de mois: non
Notes: j'ai dû manquer d'oxygène au cerveau récemment, ça expliquerait vraiment beaucoup de choses. ou c'est peut-être la constante répétition de canicule/orage de notre charmant semblant d'été québécois qui est en train de me déranger la tête. en fait, c'est probablement le manque de sommeil.
...est-ce que j'ai l'air de quelqu'un qui essaie de se trouver quoi blâmer, là?
L'été battait campagne en lançant contre Paris ses offensives vagues de chaleur successives, desquelles Athos trouvait répit dans l'échappatoire coutumière qui lui était propre, dans le vin qu'il semblait consommer avec une régularité digne de louages. Les bouteilles, ou plutôt leur agréable contenu, ne réduisaient en rien la température infernale; l'ivresse la combattait tout simplement en la lui faisant presque oublier.
Le mousquetaire avait pour la belle saison une émotion mitigée. Il y avait d'une part les sentiments mélancoliques qui reprenaient contre lui leurs assauts assidus de mauvais souvenirs, il y avait de l'autre l'influence qu'un homme avait eu sur cette mélancolie rituelle.
Les souvenirs d'Athos le trahissaient souvent à propos de la première fois, l'ivresse et la déprime annuelle rendant sa mémoire peu fiable. Il ne pouvait pourtant ignorer qu'un treizième jour de juillet avait encore une fois changé sa vie, alors qu'il essayait dans sa tranquillité habituelle de se noyer dans verre sur verre de vin d'Espagne.
Mousquetaire depuis peu à cette date, ce que son air naturel de grande noblesse et son esprit vif des bons jours lui avait apporté d'amitiés, sa taciturnité estivale et autrement mauvais compagnonnage les beaux jours de l'été les lui faisait perdre momentanément. Tout emboissonné qu'il était, il avait tout de même reconnu cette voix empreinte de l'habitude du commandement qui s'adressait à lui et il avait relevé la tête pour confronter du regard le capitaine de Tréville...
***
Le beau visage d'Athos n'était pas visible, caché qu'il était sous ses longs cheveux retombant en mèches folles contre ses traits au rythme qu'on lui imposait et dont il ne se plaignait point. La sueur collait quelques-uns de ces fins fils foncés et épars à ses joues ou ils s'échouaient sur son noble front, selon la première de ces cibles qu'ils touchaient.
Le poids de la partie supérieure de son corps surtout déposé sur l'avant-bras droit, le mousquetaire tordait dans son autre poing, jointures blanchies par la force et l'intensité de la poigne, le drap sur lequel il était autrement appuyé des pieds et des genoux. Tête penchée vers avant, ses lèvres étaient entrouvertes de l'espace d'un souffle afin de lui permettre de respirer plus aisément, ses yeux entrouverts d'une ligne pour ne pas se retrouver aveugle dans tant de sensations.
Le mousquetaire ne s'était pas si éperdument perdu à de tels plaisirs si bassement physiques depuis longtemps, c'était pour lui une constatation toute faite d'étrangeté que de comprendre les rumeurs sur la réputation du capitaine des gardes royaux. Ayant entendu d'une oreille distraite, et surtout peu intéressée à de tels ragots, les mots qui s'échangeait sur la talent de Tréville à courir les ruelles, il n'avait jamais rien entendu qui supposait qu'il n'y avait pas que les jupons auxquels il prenait intérêt.
S'il entrouvrait les yeux un peu plus pour regagner un peu plus clair de vue, le mousquetaire pouvait voir les mains de l'autre homme, fermement plantés contre la couche, et il ne pouvait ignorer ni le mouvement sur de lui, ni les divines sensations qu'il provoquait. Une des mains s'effaça, l'équilibre fut repris de la manière prompte d'un homme habitué à de tels remaniements et les doigts de cette main ayant fuit se trouvèrent un autre endroit où venir aborder.
Athos serra les dents, un gémissement s'échappant traîtreusement de ses lèvres et sur un mot, sur un encouragement de l'autre homme, il ne retint aucune autre marque d'appréciation. Les doigts connaissaient de toute évidence leur travail à la perfection et le mousquetaire cacha son visage dans un oreiller.
Il ne doutait pas que sur ses joues était affiché un mélange de honte à cette soumission et de plaisir due à la même cause, marques écarlates toutes dues au plaisant effort, à la chaleur qu'il ressentait sans qu'elle n'eut rien à voir avec celle qui flottait dans l'air tout lourd de la saison. Tout empire qu'il eut sur lui-même, cet empire se morcela à pareils sagaces assauts et Athos cria sans suite tous les mots hachés de plaisir qu'il ne put contenir.
Dans la gorge de Tréville sembla gronder un tonnerre lointain qui ne fut prophétisé par aucun éclair et sa main cruelle ne s'éloigna pas aussitôt, rendant l'autre homme à demi-fou du contact si délicieusement douloureux sur cette sensibilité exacerbée découverte si nouvellement. Le capitaine des mousquetaires le relâcha enfin, ses doigts préférant aller s'ancrer à la peau pâle des hanches alors qu'il se redressait.
Le tonnerre entendu plus tôt s'amplifia à chaque geste et chaque geste apportait une nouvelle rapidité, plus désespérée et encore plus tendue vers la finalité de l'échange. Tréville gronda dans l'accomplissement, un bruit sourd qui fit plaisamment frissonner Athos, et les mains du capitaine des mousquetaires se resserrèrent douloureusement, laissant un souvenir de marques rouges.
Il n'y eut qu'un moment de chaleur dévorante, un feu tel qu'il effaça une seconde la faible compétition offerte par l'été et sa moite bouillanteur, et Tréville s'effondra à moitié contre lui avant de bouger pour le libérer.
Il n'y eut plus que deux respirations rapides et haletantes, deux corps reprenant empire sur eux-mêmes comme le capitaine attira son mousquetaire à lui et que le mousquetaire se laissa si aisément nicher dans ses bras et dans ses mains qui distribuaient leurs caresses rudes.
La conquête du jour par la nuit n'avait pas, ou si peu, rafraîchi le temps qu'à peine un frisson de vent caressait les deux corps enlacés. Athos accepta le contact des lèvres sur les siennes, trop fatigué pour détourner la tête et n'en ayant d'autre part pas la moindre envie.
"L'été est une si belle saison...", murmura Tréville.
"Il y règne une agréable chaleur", répondit d'à peine un souffle Athos, alors qu'il fermait les yeux et qu'il posait la tête contre le torse de l'autre homme.
***
Athos déboucha une nouvelle bouteille et emplit son verre une autre fois, une énième de ces fois qu'il ne comptait plus. L'été était déjà bien installé, ses chaudes griffes bien plantées au cœur même du mois de juillet et le mousquetaire buvait comme de coutume. Peut-être était-ce là la clé du rituel, ou simplement son amorce ou il était possible que ce n'était qu'un prétexte grossier pour justifier une folie.
Il but un autre verre et un autre encore, jusqu'à ce qu'un visage lui apparaisse sur ce terrain si familier des brumes de l'ivresse. Ce n'était peut-être qu'un rêve ou une illusion, mais il n'en suivit pas moins docilement ce rêve ou cette illusion.
(11 juillet 2006)
(no subject)
Date: 2006-07-12 07:59 pm (UTC)Drakys, quand tu décides d'écrire, ça fait toujours un choc de te lire.
Treville x Athos ?
Ben là... woh !
O_Ô
Et en prime, c'est totalement crédible la façon dont tu l'amènes !
ARGH !
Je pourrais plus voir les 3 mousquetaires de la même façon maintenant.
N'empêche, joliment amené.
Maintenant, me reste une question, parce que là, j'ai un énorme doute... Athos est uke dans la vignette, non ? ôo
(no subject)
Date: 2006-07-12 08:36 pm (UTC)et si, athos est uke dans la fic. d'ailleurs y'a un truc parfaitement scientifique pour ça: athos est mon personnage préféré et mes personnages préférés, je les rends toujours uke. XD
(no subject)
Date: 2006-07-13 01:36 am (UTC)Tiens, un terme que je ne connais encore point en fanfiction. Qu'est-ce que tu veux dire par creux ? ôo
EH ! Comment ça débile le pairing ?
Meuh nan !
Crack, certainement, débile... NAN !!! ^_^
La preuve, j'aime est j'accroche.
Je me disais bien aussi que c'était lui mais j'avais un doute en me demandant si je n'interprétais pas de trop et j'ai voulu confirmer ce que mon cerveau m'indiquait.
Merci de ta réponse.
*note dans un coin. Athos, uke, ça rend vachement bien. Pensez à en faire des défis à la con pour des mèmes*et mes personnages préférés, je les rends toujours uke. XD
MDR ! Belle preuve scientifique.
Alors, ma prochaine question sera :
Tu préfères le schtroumfp Bricoleur ou le schtroumfp Costaud ?
(Quoi ? Comment ça vile intéressée vénale ? Meuuuuuuuh nan ! C'est de la curiosité scientifique. Sisi !!! J'le jure sur mes crayons de dessin. )
(no subject)
Date: 2006-07-13 12:20 pm (UTC)côté pairing, entre crack et débile, pour moi, il n'y a pas vraiment de différence. ^^; les deux termes sont un peu du pareil au même dans mon ch'tit vocabulaire personnel.
si, si. perso favori de drakys = uke. très très scientifique. (et erhm-- c'est le schtroumpf bricoleur mon préféré. bien sûr. ^^;)
(no subject)
Date: 2006-07-13 08:58 pm (UTC)Et Princes du Thé, tu veux pas écrire sur Prince du thé ? ö_ö
*regard noir des persos* Quoi ? J'peux demander hein ?
Ah non, moi je vois une différence, tout de même. lol
MDR.
Bonne schtroumpf alors !
(no subject)
Date: 2006-07-14 12:08 pm (UTC)(no subject)
Date: 2006-07-14 09:26 pm (UTC)Pas grave.
C'est pas une série très répandue et facile d'accès (c'est du Tonkam, alors... grr) donc, je suppose que je resterai seule face à l'adversité. lol
Merci quand même.
Et j'espère bientôt lire la schtroumpf de tes histoires ! lol
(no subject)
Date: 2006-07-15 06:18 pm (UTC)j'essaierais d'y jeter un coup d'oeil, la prochaine fois que j'irai en librairie...
(no subject)
Date: 2006-07-15 09:21 pm (UTC)Ma libraire habituelle avait beau commander la suite des séries, ils lui renvoyaient que les premiers volumes et on arrivait pas à obtenir les livres suivants.
Très exaspérant.
Disons, que ce que je sais de Tonkam, que leur politique commercial laisse un peu à désirer. Sigh. Le reste, ils sont relativement bien.
Donc, qu'on soit à Pau, dans le sud de la France, au Québec ou en Nelle Calédonie, on est dans le même canoé. lol
Jettes-y un coup d'oeil ! Parce que je voudrais bien des compagnes de lutte pour les couples dans Princes du Thé. ^_^ Bon, d'accord, j'avoue, je suis vénale ET intéressée !
Vive les Taiko x Assam, vive les Kikuka x Orange Peko, vive les Osawa-Sempaï x Earl Grey !!! *__________*
lol
Désolée, j'arrête de pouiller tes commentaires.
Bizz (ça te dirait si on discutat par mail ? si tu veux bien...)
(no subject)
Date: 2006-07-16 10:16 pm (UTC)à moins d'importer des trucs. et er-- ça finit par coûter cher. *triste* et euh-- pour les princes du thé, j'ai cherché des scans mais booouh. j'ai pas (encore) trouvé. pfft.
et euh, ouais j'ai pas d'objection à ça; takoweiner@yahoo.ca si tu veux bien me faire l'honneur du premier mail.