22 Juillet - Twilight
Jul. 22nd, 2011 07:33 am![[identity profile]](https://www.dreamwidth.org/img/silk/identity/openid.png)
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Titre : Une autre rencontre, en d'autres temps
Auteur : Anders Andrew
Jour/Thème : 22 juillet/Twilight
Fandoms : Twilight (et inspiré de l'univers de Stargate SG1, mais faut vraiment capter la référence)
Personnage/Couple : Bella, Edward, Rosalie, Emmett, Jasper, Alice
Rating : PG
Warnings éventuels : Ceci est un Univers Alternatif - pas de bashing
Disclaimer : Twilight - la saga du désir interdit, appartient à Stephenie Meyer
Participation au vote de fin de mois : Non
Assise dans le sable, je me remplissais le ventre avec mes camarades de lentilles. Nous étions tous des esclaves, et certains d’entre nous étaient couverts de plaies dues aux fouets des contremaîtres. Nous n’avions même plus la force de nous rebeller, tant le travail était épuisant.
Je m’essuyais la bouche. Il faisait chaud, et la sueur coulait sur ma peau à grosses gouttes. J’étais exténuée, mais la nourriture m’avait donné des forces.
C’est alors que je les vis pour la première fois.
Ils marchaient en file indienne, à l’écart des travaux, afin d’éviter la poussière. Ils étaient cinq. Ils ne parlaient pas, se déplaçant en silence, discrets comme des ombres. Pourtant, tous avaient les yeux rivés sur eux. Je les observais à mon tour.
Ils n’avaient aucun traits en commun. Celui qui ouvrait la marche était large d’épaules, musclé comme un soldat. Il avait de courts cheveux noirs ondulés. Il était accompagné d’une femme ravissante à la robe blanche vaporeuse; Sa chevelure dorée descendait en vagues douces jusqu’au milieu de son dos.
Un autre couple les suivait. Un blond très élancé et une petite adolescente au visage mutin; ses mèches formaient des pointes, comme des ailes de corbeau.
Et le dernier, duquel mon regard ne pût se détacher, était le plus bel être que j’ai jamais vu. La silhouette haute et fière, il avait un profil aquilin, où perçait des yeux sombres, entourés de cernes qui magnifiaient d’autant plus l’intensité sans égal de ses iris. Sa peau était aussi diaphane que celle de ses camarade, mais il dégageait une aura, une présence surnaturelle et bienveillante, d’une splendeur inhumaine et dévastatrice. Et ses cheveux formaient comme une auréole cuivrée au dessus de sa tête.
Je comprenais maintenant pourquoi c’était nous les esclaves et eux les maîtres.
Auteur : Anders Andrew
Jour/Thème : 22 juillet/Twilight
Fandoms : Twilight (et inspiré de l'univers de Stargate SG1, mais faut vraiment capter la référence)
Personnage/Couple : Bella, Edward, Rosalie, Emmett, Jasper, Alice
Rating : PG
Warnings éventuels : Ceci est un Univers Alternatif - pas de bashing
Disclaimer : Twilight - la saga du désir interdit, appartient à Stephenie Meyer
Participation au vote de fin de mois : Non
Assise dans le sable, je me remplissais le ventre avec mes camarades de lentilles. Nous étions tous des esclaves, et certains d’entre nous étaient couverts de plaies dues aux fouets des contremaîtres. Nous n’avions même plus la force de nous rebeller, tant le travail était épuisant.
Je m’essuyais la bouche. Il faisait chaud, et la sueur coulait sur ma peau à grosses gouttes. J’étais exténuée, mais la nourriture m’avait donné des forces.
C’est alors que je les vis pour la première fois.
Ils marchaient en file indienne, à l’écart des travaux, afin d’éviter la poussière. Ils étaient cinq. Ils ne parlaient pas, se déplaçant en silence, discrets comme des ombres. Pourtant, tous avaient les yeux rivés sur eux. Je les observais à mon tour.
Ils n’avaient aucun traits en commun. Celui qui ouvrait la marche était large d’épaules, musclé comme un soldat. Il avait de courts cheveux noirs ondulés. Il était accompagné d’une femme ravissante à la robe blanche vaporeuse; Sa chevelure dorée descendait en vagues douces jusqu’au milieu de son dos.
Un autre couple les suivait. Un blond très élancé et une petite adolescente au visage mutin; ses mèches formaient des pointes, comme des ailes de corbeau.
Et le dernier, duquel mon regard ne pût se détacher, était le plus bel être que j’ai jamais vu. La silhouette haute et fière, il avait un profil aquilin, où perçait des yeux sombres, entourés de cernes qui magnifiaient d’autant plus l’intensité sans égal de ses iris. Sa peau était aussi diaphane que celle de ses camarade, mais il dégageait une aura, une présence surnaturelle et bienveillante, d’une splendeur inhumaine et dévastatrice. Et ses cheveux formaient comme une auréole cuivrée au dessus de sa tête.
Je comprenais maintenant pourquoi c’était nous les esclaves et eux les maîtres.