Titre : Je n'ose pas
Auteur :
shojoai_fangirl
Jour/Thème : 16 juillet / Je n'ose pas
Fandom : Strangers in Paradise
Personnage/Couple : Francine (qui parle de Katchoo)
Rating : G et shojo-ai. Evidemment Fufufufu....
Disclaimer : à Terry Moore, un merveilleux dessinateur. *_* et j'ai même pas besoin de chercher du shojo-ai dedans, c'est shojo-ai ! J'aime ce comic ! j'aime ce comic ! Je l'aime !!!
Participation au vote de fin de mois : Oui. (celui-là, j'en suis bizarrement fière)
Note : Si vous avez lu la BD, mais pas encore le volume 8, je vous conseille de ne pas lire, si vous ne voulez pas de spoiler. C'est pas énorme mais y'en a un peu quand même.
Sinon, si mon word m'a pas trompé, j'ai réussi 300 mots pile-poil. Oui, oui, je sais, un vrai drabble c'est 100 ou 200 mots, mais j'suis assez fière d'avoir réussi à topé une centaine.
fufufufufu...
NB : Vives les week-ends de 3 jours ! Au moins, là je peux écrire et poster !
Auteur :
Jour/Thème : 16 juillet / Je n'ose pas
Fandom : Strangers in Paradise
Personnage/Couple : Francine (qui parle de Katchoo)
Rating : G et shojo-ai. Evidemment Fufufufu....
Disclaimer : à Terry Moore, un merveilleux dessinateur. *_* et j'ai même pas besoin de chercher du shojo-ai dedans, c'est shojo-ai ! J'aime ce comic ! j'aime ce comic ! Je l'aime !!!
Participation au vote de fin de mois : Oui. (celui-là, j'en suis bizarrement fière)
Note : Si vous avez lu la BD, mais pas encore le volume 8, je vous conseille de ne pas lire, si vous ne voulez pas de spoiler. C'est pas énorme mais y'en a un peu quand même.
Sinon, si mon word m'a pas trompé, j'ai réussi 300 mots pile-poil. Oui, oui, je sais, un vrai drabble c'est 100 ou 200 mots, mais j'suis assez fière d'avoir réussi à topé une centaine.
fufufufufu...
Je n’ose pas te prendre la main. Je n’ose pas te dire les mots. Les bons mots.
Tu es la femme de ma vie mais voilà, il y a un hic. J’en suis une aussi.
Rien dans mon éducation, rien dans ma famille ne m’a préparée pour ça. Pour toi et cette amour-là. J’avance d’un pas puis je recule de trois. Chaque fois que je crois avoir le courage de saisir ma chance, je m’arrête. Et je n’ose pas.
Tu es ma vie, tu es mon tout. Mon âme-sœur, celle qui me complète si parfaitement que je ne sais comment je pourrais vivre sans toi, loin de toi. Mais même te le dire face à face je n’ose pas.
Je n’ose pas t’avouer rien que ça et je te laisse partir.
Tu prends l’avion avec David, direction New-York.
Moi je reste là.
En plan, sur le bord de la route, où j’ai choisi de saboter ma vie, et j’attends le taxi qui ne viendra jamais parce que je sais que ma place est ici.
Ici avec toi.
Ici avec toi.
Mon amour. Katchoo. Ma Katchoo.
Mais je te laisse filer et je me retiens au sol. Je n’ose pas.
De trop t’aimer, de te montrer en vérité ce que j’ai au fond de moi, pour toi, à toi.
Et tu pars et je n’ose toujours pas.
Tu pars loin de moi et je sais que je te perds cette fois. J’ai reculé une fois de trop.
Une fois de trop.
Et quand le téléphone sonne, je prie que ce soit toi.
Et quand dans le miroir, je te vois, je sais, je sais...
Et il ne me reste qu’une chose à demander au ciel : Laissez-moi mourir, laissez-moi crever pour aller au ciel avec elle.
Parce que sans toi, vivre, je n’oserai pas.