25 novembre - Viens par là - One Piece
Nov. 24th, 2011 09:51 pm![[identity profile]](https://www.dreamwidth.org/img/silk/identity/openid.png)
![[community profile]](https://www.dreamwidth.org/img/silk/identity/community.png)
Titre : Conduite obscène en public
Auteur : Anders Andrew
Jour/Thème : 25 novembre/Viens par là
Fandom : One Piece
Personnage : Zoro/Sanji
Rating : PG-13
Disclaimer : One Piece appartient à Oda Eiichiro
Participation au vote de fin de mois : Non
Il passe la main sur son dos, lentement, et cela lui provoque un frisson qui remonte depuis le creux de ses reins, jusqu’à sa nuque.
Sanji ouvre la bouche pour râler, mais c’est Zoro qui prend la parole en premier.
« Viens par là ! », susurre-t-il, à la fois autoritaire et amusé.
Il le plaque contre lui. Le corps du blond tressaute de surprise; celui de Zoro est dur, musclé. Il dégage de la chaleur, une odeur de musc discrète. C’est perturbant.
- Lâches-moi, marmonne le cuistot en essayant - avec très peu de conviction - de s’échapper de l’étreinte étouffante.
Néanmoins, l’autre le tient fermement.
- Pourquoi faire ? Tu as une course urgente ?
L’une de ses mains descend sur ses fesses, le faisant à nouveau sursauter.
- Arrêtes ça ! On va nous voir !, s’exclame Sanji, pivoine.
- C’est toi qui attire l’attention, en te tortillant et en gueulant de la sorte, déclare simplement l’épéiste avec un sourire en coin.
Nerveux, son camarade regarde autour d'eux pour vérifier que la rue est déserte.
- Allez, laisses-toi faire, murmure le sabreur, tentateur, en posant ses lèvres sur les siennes.
Auteur : Anders Andrew
Jour/Thème : 25 novembre/Viens par là
Fandom : One Piece
Personnage : Zoro/Sanji
Rating : PG-13
Disclaimer : One Piece appartient à Oda Eiichiro
Participation au vote de fin de mois : Non
Il passe la main sur son dos, lentement, et cela lui provoque un frisson qui remonte depuis le creux de ses reins, jusqu’à sa nuque.
Sanji ouvre la bouche pour râler, mais c’est Zoro qui prend la parole en premier.
« Viens par là ! », susurre-t-il, à la fois autoritaire et amusé.
Il le plaque contre lui. Le corps du blond tressaute de surprise; celui de Zoro est dur, musclé. Il dégage de la chaleur, une odeur de musc discrète. C’est perturbant.
- Lâches-moi, marmonne le cuistot en essayant - avec très peu de conviction - de s’échapper de l’étreinte étouffante.
Néanmoins, l’autre le tient fermement.
- Pourquoi faire ? Tu as une course urgente ?
L’une de ses mains descend sur ses fesses, le faisant à nouveau sursauter.
- Arrêtes ça ! On va nous voir !, s’exclame Sanji, pivoine.
- C’est toi qui attire l’attention, en te tortillant et en gueulant de la sorte, déclare simplement l’épéiste avec un sourire en coin.
Nerveux, son camarade regarde autour d'eux pour vérifier que la rue est déserte.
- Allez, laisses-toi faire, murmure le sabreur, tentateur, en posant ses lèvres sur les siennes.