J'aime beaucoup le Oruha/Kazuhiko de Trèfle, les CLAMP ont bien mêlé une relation adulte séductrice, aimante et tendre avec ces personnages. J'aime bien l'idée qu'Oruha cache sa fin comme une femme amoureuse cacherait une maladie, pour ne pas faire souffrir l'autre, pour rester telle qu'il l'aime. Tu traduis très bien ça dans ta ficlette, on y retrouve le ton sincère de leur relation (je ne sais pas si ce n'est pas bourré de paradoxes de dire ça d'une femme qui ment par omission à l'homme qu'elle aime) et l'impression d'une fleur qui se fane dans cette phrase-là => ...sachant que ça ne serait que pour un temps, que quoi qu'elle fasse, quoi qu'elle lui donne, ça ne serait pas pour toujours – toute sa vie à elle, mais pas la sienne à lui.
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J'aime vraiment beaucoup.