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31_jours2008-10-24 12:29 am
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24 octobre / Cygne / Harry Potter
Titre : Des plumes et des écailles
Auteur : Heera_ookami
Jour/Thème : 24 octobre/Cygne
Fandom : Harry Potter
Personnage : Dean Thomas ; Blaise Zabini
Rating : G
Disclaimer : Pas à moi…
Participation au vote de fin de mois : Non
Lorsqu’il l’avait vu pour la première fois, Dean avait été estomaqué. C’était la première fois qu’il voyait un cygne noir de jais comme ça. L’animal était magnifique. Alors tout naturellement, il avait commencé à le dessiner. L’oiseau lui jetait parfois des coups d’œil méfiants mais ne s’enfuit pas.
Le lendemain, il avait recommencé et puis par curiosité, il s’était mis à lui parler. Si il l’amadouait assez, peut être que l’animal se rapprocherait et qu’il pourrait le dessiner de plus prêt.
Alors il s’était mis à lui raconter tout et n’importe quoi. De ses notes à ce qu’il aimait en passant par le fait qu’il avait froid et qu’il devait penser à demander une écharpe à sa mère par courrier. Il n’en avait pas, vu qu’il avait oublier la sienne en préparant sa malle. Tout, petit à petit, histoire non seulement de ne pas perdre sa voix mais aussi de ne pas saouler ce pauvre animal, juste quelques paroles par-ci par-là au fil des coups de crayon.
Cela ne marcha pas tout de suite, d’ailleurs si le cygne avait été un humain, Dean en aurait conclut qu’il l’ennuyait royalement. Mais Dean, en bon petit Gryffondor, s’était entêté. Il amadouerait ce cygne même si il devait y laisser sa santé mentale, et même sa santé tout court vu le temps.
Et ses efforts finirent par porter leurs fruits, l’animal se laissa peu à peu séduire et se rapprocha de plus en plus. D’ailleurs il alla même jusqu’à chasser jalousement ses amis qui venaient lui parler ou le chercher. Dean était désolé pour eux mais laissa faire, après tout, son obsession du moment, c’était ce cygne donc…
Au bout de quelques jours, Blaise Zabini que les rumeurs disaient avoir été soit malade, soit victime d’un mauvais sortilège de métamorphose, revint et Dean ne put que se crisper, méfiant, en voyant le sourire en coin dont le gratifia le Serpentard. Il ne quitta le garçon du regard que pour regarder un autre Serpentard qui s’adressait à lui sans arrêter son chemin. Théodore Nott si il ne se trompait pas ?
« Tu as creusé ta tombe tout seul Thomas… Quelle idée de passer tes journées avec lui aussi… »
Hein ? Pardon ? Depuis quand il passait ses journées avec Zabini ? Il n’était pas maso non plus, ce n’est pas un truc qui lui viendrait à l’idée. Secouant la tête, Dean se rendit à son « rendez-vous » avec le cygne. Mais le coin était vide. Vide de toute plume du moins, ça ne manquait pas d’écailles c’est le moins qu’on puisse dire.
Blaise Zabini était là et Blaise Zabini lui tendait un paquet. D’abord hésitant, le dessinateur finit par s’en emparer en voyant le sourire moqueur du genre « on a peur Thomas ? » qui ourlait les lèvres du Serpentard.
A l’intérieur, il découvrit une écharpe.
Dean savait ce qu’on disait des Gryffondor, qu’ils n’étaient certes pas choisit pour leur intelligence. Mais ils savaient quand même additionner deux et deux. La déclaration de Nott, plus la rumeur, plus le cygne qui disparaissait alors que Zabini revenait, plus le coup de l’écharpe ? C’était plus qu’assez pour deviner.
Il reporta son attention sur l’expression du Serpentard, se souvint, sans savoir ce qui lui faisait penser ça, à la façon dont le cygne avait virer ses amis à chaque fois….
Et sentit qu’il s’était mis dans les ennuis jusqu’au cou. Il avait plus ou moins raconté sa vie à Zabini et ne savait pas du tout à quelle sauce celui-ci allait le manger.
Le lendemain, il avait recommencé et puis par curiosité, il s’était mis à lui parler. Si il l’amadouait assez, peut être que l’animal se rapprocherait et qu’il pourrait le dessiner de plus prêt.
Alors il s’était mis à lui raconter tout et n’importe quoi. De ses notes à ce qu’il aimait en passant par le fait qu’il avait froid et qu’il devait penser à demander une écharpe à sa mère par courrier. Il n’en avait pas, vu qu’il avait oublier la sienne en préparant sa malle. Tout, petit à petit, histoire non seulement de ne pas perdre sa voix mais aussi de ne pas saouler ce pauvre animal, juste quelques paroles par-ci par-là au fil des coups de crayon.
Cela ne marcha pas tout de suite, d’ailleurs si le cygne avait été un humain, Dean en aurait conclut qu’il l’ennuyait royalement. Mais Dean, en bon petit Gryffondor, s’était entêté. Il amadouerait ce cygne même si il devait y laisser sa santé mentale, et même sa santé tout court vu le temps.
Et ses efforts finirent par porter leurs fruits, l’animal se laissa peu à peu séduire et se rapprocha de plus en plus. D’ailleurs il alla même jusqu’à chasser jalousement ses amis qui venaient lui parler ou le chercher. Dean était désolé pour eux mais laissa faire, après tout, son obsession du moment, c’était ce cygne donc…
Au bout de quelques jours, Blaise Zabini que les rumeurs disaient avoir été soit malade, soit victime d’un mauvais sortilège de métamorphose, revint et Dean ne put que se crisper, méfiant, en voyant le sourire en coin dont le gratifia le Serpentard. Il ne quitta le garçon du regard que pour regarder un autre Serpentard qui s’adressait à lui sans arrêter son chemin. Théodore Nott si il ne se trompait pas ?
« Tu as creusé ta tombe tout seul Thomas… Quelle idée de passer tes journées avec lui aussi… »
Hein ? Pardon ? Depuis quand il passait ses journées avec Zabini ? Il n’était pas maso non plus, ce n’est pas un truc qui lui viendrait à l’idée. Secouant la tête, Dean se rendit à son « rendez-vous » avec le cygne. Mais le coin était vide. Vide de toute plume du moins, ça ne manquait pas d’écailles c’est le moins qu’on puisse dire.
Blaise Zabini était là et Blaise Zabini lui tendait un paquet. D’abord hésitant, le dessinateur finit par s’en emparer en voyant le sourire moqueur du genre « on a peur Thomas ? » qui ourlait les lèvres du Serpentard.
A l’intérieur, il découvrit une écharpe.
Dean savait ce qu’on disait des Gryffondor, qu’ils n’étaient certes pas choisit pour leur intelligence. Mais ils savaient quand même additionner deux et deux. La déclaration de Nott, plus la rumeur, plus le cygne qui disparaissait alors que Zabini revenait, plus le coup de l’écharpe ? C’était plus qu’assez pour deviner.
Il reporta son attention sur l’expression du Serpentard, se souvint, sans savoir ce qui lui faisait penser ça, à la façon dont le cygne avait virer ses amis à chaque fois….
Et sentit qu’il s’était mis dans les ennuis jusqu’au cou. Il avait plus ou moins raconté sa vie à Zabini et ne savait pas du tout à quelle sauce celui-ci allait le manger.